Au vu de l’aggravation des cas de transmission du Coronavirus en France, les établissements sanitaires luttent contre la saturation. Les services de réanimation s’efforcent à décharger les personnels sanitaires et les lits d’hôpitaux. L’objectif est de contrecarrer une éventuelle saturation.
Alors qu’on s’apprête à entrer dans un week-end décisif, les chiffres parlent clairement. Les hôpitaux d’Île-de-France hébergent plus de 405 personnes touchées au Covid-19 et internées dans les services d’animation . Cela traduit une légère hausse de 17% par rapport aux chiffres de la veille.
Seuls 250 lits étaient inoccupés. Un stock insuffisant si l’on s’en tient à la forte amplification quotidienne des infections au Coronavirus. La vitesse de transmission du Coronavirus risque l’effondrement des hôpitaux et contraint les établissements sanitaires en France à lutter contre la saturation.
S’il est vrai que l’Île-de-France n’a pas encore atteint la saturation, les responsables sanitaires restent tout de même vigilants. Se préparer face à un stage critique permettrait d’éviter une saturation surprise. Le directeur de l’ARS exhorte une mobilisation générale avec la mise en place d’autres mesures d’urgences. Il faudrait équiper les établissements de santé et enrôler les personnels soignants.
Aurélien Rousseau a rappelé le bien fondé du confinement absolu. Ces mesures restrictives permettent de baisser le nombre de contaminations au Covid-19. En effet, plus le confinement sera respecté, plus des centaines de lits de réanimation seront disponibles dans les établissements de soins.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.