Une fillette de dix ans est morte électrocutée dans la baignoire après que le téléphone portable qu’elle avait chargé soit tombé à l’eau. L’épisode a eu lieu à Vitrolles près de Marseille, en France, vers 19h15 le dimanche 15 décembre 2019.
La mère a remarqué le drame et a trouvé le corps de la fille sans vie. Elle a essayé d’appeler une ambulance, mais les médecins, lorsqu’ils sont arrivés sur place, n’ont pu s’empêcher de remarquer sa mort.
Les détails de la dynamique qui a conduit la jeune femme à sa mort doivent maintenant être clarifiés. L’autopsie semble avoir confirmé que cela a été causé par un électrochoc. Selon les premières reconstitutions, la jeune fille a mis son smartphone en charge près de la baignoire dans laquelle elle était immergée.
Par hasard ou parce qu’elle a essayé de le prendre, le téléphone s’est alors jeté à l’eau, provoquant un court-circuit qui a été fatal.
Comme l’eau était un conducteur de courant, elle a déclenché la tragédie. Si le téléphone n’avait pas été connecté à une source d’alimentation 220 volts, rien ne se serait passé, a expliqué un expert à la presse française. Il a bouleversé ses voisins ainsi que ses camarades de classe, pour qui un compteur psychologique a été activé.
Le cas de la fillette de 10 ans n’est pas le premier à présenter ces caractéristiques. En Italie aussi, il y a eu un épisode de ce genre en 2017 à Crotone. Ici, une fille est morte électrocutée par une pantoufle qui est tombée dans la baignoire, qui était attachée à son téléphone portable en charge.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.