Invité lundi du Journal de 20 heures sur France 2, Bernard Tapie est revenu avec David Pujadas sur sa mise en examen en bande organisée et sur les soupçons pesant sur lui concernant le litige qui l’oppose au Crédit lyonnais.
« Oui Monsieur, c’est un complot », a lâché lundi soir l’homme d’affaires lors d’un entretien accordé au journaliste David Pujadas. Démentant, avec sa fermeté et son aisance naturelle, le fait d’avoir profité du litige contre le Crédit lyonnais qui lui aurait permis de toucher plus de 400 millions d’euros, Bernard Tapie s’est présenté en bouc émissaire du système.
« Pour vous dire la vérité, ma garde à vue était moins difficile à vivre que les cinq semaines que les médias m’ont fait vivre avant. Chaque jour, chaque heure, chaque journal télévisé, les unes des magazines… Je n’avais jamais vu un tel acharnement », a lâché le propriétaire des quotidiens régionaux La Provence et Nice Matin au sujet du traitement médiatique de cette affaire.
A entendre Bernard Tapie, c’est sa réussite qui engendre de la jalousie depuis tant d’années et encore aujourd’hui : « Vous êtes tellement partisan de la France qui pleure, de la France haineuse, vous nourrissez ça à longueur de journée, c’est ça que vous visez, vous vous rendez compte, il a gagné de l’argent. »
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