Pour affirmer cela, le journal dispose évidemment de « preuves », la copie de documents saisis lors d’une perquisition en décembre dernier dans le disque dur de la directrice de communication de l’époque, Frédérique Le Grèves. Il y a d’abord des mails, dont un dans lequel elle demande de « travailler sur une déclaration à utiliser en interne ou en externe au cas où l’un d’entre eux (NDLR : un des trois cadres suspectés) commettrait l’imparable ». Et c’est ensuite ledit communiqué qui lui est livré avec les deux hypothèses : le suicide d’un des trois cadres licenciés ou une tentative qui aurait échoué. Voici quelques extraits de ce que contient le document que s’est procuré Le Parisien : « Toute l’entreprise est profondément ébranlée par la gravité de ce geste (…) (l’entreprise) pense particulièrement à la famille de M. xxx ».
Frédérique Le Grèves, aujourd’hui chef de cabinet de Carlos Ghosn, n’a d’ailleurs pas démenti mais précise au quotidien : « J’avais effectivement demandé de préparer cette communication. C’était de l’anticipation pure, des éléments de langage pour être prêt à répondre aux journalistes. »
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