Le président du Modem considère qu'une "cohabitation de guerre" serait une véritable "catastrophe" pour la France. Il souhaite en revanche d'avantage de "coopération" entre les différents courants politiques.
Le président du Modem considère qu’une « cohabitation de guerre » serait une véritable « catastrophe » pour la France. Il souhaite en revanche d’avantage de « coopération » entre les différents courants politiques.
« Le pire » que la France pourrait connaître serait une « une majorité de l’Assemblée nationale en guerre avec le président de la République » a-t-il dit sur France 2.
Il reproche à Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, de s’être positionné en « chef de guerre » pour les législatives du mois de juin.
« Si on est dans ce climat-là, ce sera en France le chaos et pour ma part, je ne suis pas partie prenante de cette volonté d’affrontement entre l’Assemblée nationale et le président de la République élu« , a-t-il prévenu, estimant qu’une « cohabitation de guerre et d’affrontements » serait une « catastrophe » pour le pays.
« En revanche, il serait excellent pour le pays » que se constitue au parlement une « coopération plus large que le seul Parti socialiste« , avec des « groupes politiques ou des courants politiques différents (qui) apporteraient chacun leur expérience et leur vision« .
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