«Vive Merah», «Vengeance» ou «Nique la kippa». Vendredi matin, sur la façade d’un immeuble de la rue Charles Péguy à Sartrouville, des passants tombent nez-à-nez avec des tags antisémites, à la gloire de Mohamed Merah, le tueur de Toulouse, abattu jeudi matin par les hommes du Raid.
Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen étaient aussi visé au milieu de ces messages peint en noir sur plus de 20 mètres de long. Le commissariat de police de Sartrouville n’a pour l’heure, «aucun indice» sur les auteurs des graffitis. «Mais on n’est pas surpris de ce genre de messages, confie la police. C’est un peu une tradition ici. Des individus réagissent souvent comme ça face à l’actualité politique» a notamment expliqué le commissaire en charge de l’enquête
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