Mercredi dernier, la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris a reconnu que l’article publié le 7 décembre 2011 par Le Canard enchaîné contenait cinq propos diffamatoires contre Bouygues.
Le tribunal a par ailleurs constaté que Le Canard enchaîné n’a pas apporté la moindre preuve qu’une information judiciaire à l’encontre de Bouygues était ouverte.
Cependant, il a accordé le bénéfice de la bonne foi aux journalistes.
Le groupe Bouygues » se félicite que le caractère diffamatoire de la plupart des allégations du Canard enchaîné ait été reconnu « .
Le tribunal confirme que Bouygues n’est visé par aucune enquête relative à des faits de corruption dans l’attribution du nouveau siège du ministère de la Défense à Balard.