Selon une enquête de Reuters réalisée auprès de 64 économistes, le pire reste à venir dans la crise de la zone euro.
Selon une enquête de Reuters réalisée auprès de 64 économistes, le pire reste à venir dans la crise de la zone euro.
Selon les économistes interrogés, l’éclatement de la zone euro n’aura pas lieu, sauf pour 10 d’entre eux, mais en revanche ils considèrent que le plus dur reste à venir au cours de l’année 2012. Ils sont par ailleurs 33 à juger « probable » et 18 « hautement probable » la perte du AAA par la France. Ils estiment également que la Belgique, l’Italie et l’Espagne verront leur note baisser une nouvelle fois.
La principale menace d’instabilité de la zone euro viendrait, selon eux, de la situation économique de la Grèce qui négocie actuellement un second plan d’aide auprès des instances financières afin ne pas se trouver en défaut de paiement de ses créances d’ici le mois de mars. « Tous les yeux restent tournés vers la Grèce. La situation semble extraordinairement morose. Les ménages sont sous pression, le secteur bancaire est en train d’être réduit en miettes » estime James Nixon de la Société Générale.
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