Hugo Lloris, le recordiste des sélections en équipe nationale française avec 145 matches joués en bleu, retrace sa carrière de footballeur, de son passage à l’OGC Nice à l’Olympique lyonnais, en passant par le club londonien de Tottenham pour arriver au Los Angeles FC, où il joue actuellement à 37 ans. Alors que l’Euro 2024 a démarré le vendredi 14 juin, cet ancien capitaine des Bleus a mis en lumière son parcours dans son autobiographie « Le Monde entre les Mains » (Éditions Stock, 318 pages, 20,90 euros).
Lloris attribue son succès à l’éducation qu’il a reçue de sa famille. Il a été influencé par le travail acharné de ses parents, qui ont été une source d’inspiration pour lui. Il a vu ses parents se lever tôt et rentrer tard, ce qui lui a permis de comprendre l’importance de la discipline dès son plus jeune âge. Il a grandi dans un quartier populaire de Nice jusqu’à ses 10 ans, puis il a déménagé dans une zone résidentielle grâce au travail de ses parents.
Bien que beaucoup pensent qu’il a été élevé dans un environnement privilégié, Lloris insiste sur le fait que c’était loin d’être le cas. Son père a débuté comme simple employé dans une banque avant de grimper l’échelle et devenir l’un des dirigeants. Il a ensuite rejoint plusieurs banques majeures à Monaco. Sa mère a dû mettre ses études entre parenthèses après avoir donné naissance à sa sœur à un très jeune âge. Elle a commencé en bas de l’échelle dans un cabinet d’avocats à Monaco avant de gravir les rangs pour se voir confier des responsabilités majeures. Malgré leurs engagements professionnels, ils ont toujours veillé à offrir la meilleure éducation à leurs trois enfants.
Au sein de notre cercle familial, le tennis a toujours dominé, une passion héritée de ma grand-mère qui a été joueuse assidue au Club de Monte-Carlo. Suivant leurs pas, j’ai moi aussi développé une affection pour le sport à la balle jaune. Mon entrée dans le football est intervenue lorsque j’étais au Tennis Club des Combes, à Nice, où mon talent a été découvert par le propriétaire du club qui m’a recommandé de tenter ma chance au football avec l’un de ses amis entraîneur. Par la suite, j’ai jonglé entre les deux sports avant de me concentrer sur le football à l’âge de 8 ans lorsque j’ai rejoint l’OGC Nice. Avec 4 à 5 sessions d’entraînement par semaine et des matchs tous les week-ends, ma mère commençait à ressentir que le football m’éloignait d’elle.
Concernant votre question sur mon grand-père m’inscrivant pour une détection de talents à l’OGC Nice à l’insu de mes parents, l’information n’est pas complète dans cet extrait. plus à découvrir pour les abonnés.
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