Selon Al-Qahera News, des responsables égyptiens ont affirmé que les délégations israéliennes et du Hamas ont quitté Le Caire. Malgré cela, les efforts de médiation de l’Égypte, des États-Unis et du Qatar continuent dans le but de concilier les positions des deux parties. Izzat Al-Risheq, membre du bureau politique du Hamas, a déclaré que les opérations israéliennes à Rafah semblent vouloir compromettre ces efforts de médiation. Il a cependant réitéré l’engagement du Hamas à accepter la proposition des médiateurs.
Joe Biden, le président américain, a fait savoir mercredi soir qu’il ne fournirait pas certaines armes à Israël en cas d’attaque importante contre Rafah, située dans le sud de la bande de Gaza. L’ambassadeur israélien à l’ONU a jugé cette déclaration de Biden comme étant décevante. En réponse, le ministre de la défense israélien, Yoav Gallant, a affirmé que le Hamas et le Hezbollah seront attaqués pour garantir la sécurité d’Israël.
Suite à la disparition de quatre membres du Hezbollah tués lors d’un raid aérien israélien à Bafliyeh, près de la frontière avec Israël, le Hezbollah a bombardé le nord d’Israël.
Un bateau américain transportant de l’aide pour Gaza a quitté Chypre. Les aides humanitaires provenant du Royaume-Uni, de Chypre et des États-Unis arriveront d’abord sur un quai temporaire construit par les États-Unis au large de Gaza, avant d’être acheminées vers la région palestinienne.
Le premier ministre d’Israël, Benyamin Nétanyahou, a insisté jeudi dernier que son pays poursuivrait le combat, même s’il se trouve « seul ». Des déclarations qui font suite aux récentes menaces des États-Unis de suspendre des livraisons d’armes à son partenaire historique.
La nouvelle a été diffusée jeudi 9 mai à 20h00, où il a été mentionné que les représentants du Hamas et d’Israël ont quitté Le Caire. Al-Qahera News, citant une source de haut rang égyptienne, a indiqué que les tentatives de médiation de l’Égypte, du Qatar et des États-Unis persistent dans le but de concilier les points de vue divergents des deux parties.
Izzat Al-Risheq, membre du bureau politique du Hamas, a précisé que les activités israéliennes à Rafah ont pour but de contrecarrer les initiatives de médiation au Caire. Il assure, cependant, que le Hamas reste engagé à honorer l’offre soumise par ces médiateurs.
Joe Biden, le président américain, a averti mercredi soir qu’il pourrait refuser de fournir certaines armes à Israël en cas d’attaque majeure contre Rafah, dans le sud de la bande de Gaza. Cette intimidation a été jugée « difficile à accepter et très décevante » par l’ambassadeur d’Israël à l’ONU jeudi.
Le ministre de la défense israélien, Yoav Gallant, a réaffirmé son engagement à attaquer le Hamas et le Hezbollah pour garantir la sécurité, dans une déclaration qui semble être une réponse indirecte à Joe Biden.
Des représailles ont été menées par le Hezbollah, qui a lancé une série de bombardements sur la partie nordiste d’Israël, suite à la mort de quatre de ses combattants. Ceux-ci étaient tombés lors de l’attaque israélienne contre un véhicule à Bafliyeh, près de la frontière israélienne, selon une source de sécurité.
En parallèle, un bateau américain transportant de l’aide humanitaire pour Gaza a quitté Chypre. Les fournitures humanitaires, originaires du Royaume-Uni, de Chypre et des Etats-Unis, devront être déchargées sur un quai temporaire construit par les États-Unis au large de Gaza, avant leur transport vers le territoire palestinien.
En réponse à la menace américaine de suspendre les livraisons d’armes, le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a déclaré que son pays se battrait même s’il était isolé. Le porte-parole israélien de l’armée, le contre-amiral Daniel Hagari, a assuré que l’armée dispose de suffisamment d’armes pour mener à bien sa mission à Rafah.
Les négociations entre le Hamas et Israël au Caire ont pris fin et les délégations sont parties. Les efforts de médiation de l’Égypte et d’autres pays tels que le Qatar et les États-Unis se poursuivent pour essayer de rapprocher les positions des deux parties, selon une source égyptienne de haut niveau citée par Al-Qahera News.
Selon les déclarations d’Izzat Al-Risheq, un membre du bureau politique du Hamas, les opérations menées par Israël à Rafah ont pour but d’entraver le travail des médiateurs basés au Caire. Il a également réitéré l’engagement du Hamas à accepter la proposition faite par les médiateurs.
Mercredi dernier, Joe Biden, le président des États-Unis, a prévenu Israël que certaines armes pourraient lui être refusées si une offensive importante sur Rafah est lancée, au sud de la bande de Gaza. L’ambassadeur israélien à l’ONU a exprimé sa déception face aux propos récents du président américain, qu’il trouve difficiles à entendre.
En réponse implicite à Joe Biden, le ministre de la défense israélien, Yoav Gallant, a déclaré que le Hamas et le Hezbollah seraient frappés jusqu’à ce que la sécurité soit rétablie.
Suite à la mort de quatre de ses combattants tués lors d’une frappe israélienne sur une voiture à Bafliyeh, près de la frontière avec Israël, le Hezbollah a bombardé le nord d’Israël.
Une mission humanitaire embarquant sur un navire américain en provenance de Chypre comprenant des aides du Royaume-Uni, de Chypre et des États-Unis destinées à Gaza, est en cours. Ces aides seront transférées sur une jetée préfabriquée par les États-Unis juste au large des côtes de Gaza avant d’être transportées sur le territoire palestinien.
À la suite de la mort de deux personnes lors d’un largage d’aide, le Hamas a appelé jeudi à l’arrêt des parachutages d’aide humanitaire. Le bilan total des défunts lors de ces opérations est désormais de 21 personnes.
Salama Marouf, responsable de la presse gouvernementale de la bande de Gaza, a déclaré dans une annonce officielle que les parachutages d’aide représentaient un véritable risque pour la vie des personnes et n’étaient pas une solution viable pour alléger la crise de la faim dans le nord de la bande de Gaza, les qualifiant d’inutiles. L’annonce indiquait qu’un paquet avait atterri sur un dépôt dans un endroit non spécifié, causant l’effondrement du toit et tuant deux personnes et en blessant quatre autres qui étaient à l’intérieur en attente d’aide.
Catherine Russell, la directrice générale de l’UNICEF, a exprimé jeudi son inquiétude quant à la détérioration de la situation humanitaire à Gaza. Elle a averti que si les points de passage de Kerem Shalom et Rafah ne sont pas réouverts pour le pétrole et l’aide humanitaire, l’impact sera presque immédiat. Russell a ajouté que sans une intervention rapide, des services vitaux comme les machines de réanimation pour les bébés prématurés ne fonctionneraient plus, causant une déshydratation des enfants et des familles ou les forçant à consommer de l’eau impropre à la consommation. En outre, les débordements d’eaux usées pourraient propager des maladies. Elle a conclu en disant: « bientôt, le temps gaspillé deviendra des vies perdues ».
De plus, le Sagamore, un navire conteneur américain plein d’aide humanitaire, a quitté le port chypriote de Larnaka pour Gaza le jeudi dernier. Ce voyage est le dernier essai de l’itinéraire maritime établi pour fournir de l’aide au territoire palestinien assiégé.
La jetée temporaire construite par les Etats-Unis au large de Gaza servira à un transfert d’aide humanitaire venant des Etats-Unis, du Royaume-Uni et de Chypre avant d’être acheminée en Palestine. Yiannis Antoniou, porte-parole du gouvernement chypriote, a informé le Cyprus News Agency (CNA) que la plate-forme devrait être opérationnelle pour l’arrivée du navire transportant l’aide, pour que cette dernière puisse être débarquée et distribuée à la population palestinienne.
A Malmö, en Suède, des milliers de manifestants ont défilé pacifiquement pour exprimer leur opposition à la participation d’Israël à l’Eurovision. Leur mécontentement a gagné l’Europe toute entière au moment où Israël entrait en compétition, les actions de guerre du pays contre le Hamas à Gaza incitant plusieurs pétitions à demander son exclusion. Le Suisse Nemo, un favori du concours, a même appelé à un cessez-le-feu durable avec huit autres candidats.
La situation tendue se poursuit au Moyen-Orient où le Hezbollah a lancé des attaques contre le nord d’Israël, en réaction à la mort de ses combattants.
Le mouvement pro-iranien Hezbollah a déclaré jeudi qu’il avait répliqué à la mort de plusieurs de ses combattants en attaquant une position militaire israélienne. Quatre membres du Hezbollah avaient perdu la vie suite à une attaque israélienne dans le sud du Liban, près de la frontière avec Israël, selon les informations fournies à l’Agence France-Presse par une source sécuritaire. Cependant, le Hezbollah a confirmé que seulement trois de ses combattants avaient péri.
Dans une annonce faite plus tard en journée, le Hezbollah a indiqué avoir utilisé des « drones d’attaque » pour cibler une position militaire israélienne du nord. Ils ont affirmé que cette attaque était une réponse à la « tuerie » de ses membres à Bafliyeh. Le Liban a confirmé la mort de quatre personnes suite à l’attaque d’Israël, tandis que l’Agence nationale d’information (ANI) a rapporté « plusieurs morts » suite à une frappe aérienne israélienne près de Bafliyeh.
De son côté, l’armée israélienne a fait savoir qu’elle avait été la cible de plusieurs attaques depuis le Liban et a ajouté qu’elle avait « intercepté deux drones sur le sol libanais ».
Entre-temps, Donald Trump a critiqué Joe Biden, l’accusant de « soutenir » le Hamas et s’élevant contre son « abandon d’Israël ». Ces paroles ont été prononcées avant que Trump ne rentre dans la salle d’audience du tribunal de New York où il est jugé pour dissimulation de paiement à une ancienne actrice de films pour adultes.
Dans sa communication de mercredi, le dirigeant démocrate a signalé sa réticence à fournir certaines armes à Israël, notamment les projectiles d’artillerie, en cas de grandes opérations contre Rafah. Sur sa plateforme Truth social, le candidat républicain à l’élection présidentielle de novembre a accusé « Joe-l’Escroc » de soutenir les terroristes du Hamas. Il a rajouté que Biden est un leader affaibli et corrompu, conduisant le monde vers la troisième guerre mondiale. Il a promis qu’une fois de retour au pouvoir, il adopterait une politique de « paix par la force ».
Sept mois plus tard, comment se portent les otages israéliens ?
Le gouvernement israélien évalue à 128 le nombre d’otages toujours entre les mains du Hamas et du Djihad islamique. Des manifestations ont été organisées en Israël depuis plusieurs mois pour appeler à la libération de ces otages et exercer une pression sur le gouvernement de Benyamin Nétanyahou. Dans le cadre des discussions pour un cessez-le-feu à Gaza, la cessation des hostilités dépend de l’échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens.
La Slovénie entame le processus de reconnaissance d’un État palestinien
Le gouvernement slovène a adopté jeudi une réglementation pour reconnaître un État palestinien et envisage de le soumettre au Parlement pour approbation avant le 13 juin. Le Premier ministre libéral, Robert Golob, a déclaré lors d’un point de presse à Ljubljana, « la réglementation pour la reconnaissance de la Palestine est l’une de nos tentatives pour mettre fin aux atrocités à Gaza le plus tôt possible ».
En mars, divers pays membres de l’Union européenne – la Slovénie, l’Espagne, l’Irlande et Malte, ont exprimé leur disposition à s’engager dans une action constructive pour résoudre le conflit israélo-palestinien. Ils ont déclaré qu’ils surveilleraient les avancées des négociations pour la paix, la libération des otages et les réformes de l’autorité palestinienne. Si ces processus avancent rapidement, ils pourraient reconnaître la situation avant le 13 juin, selon M. Golob. Tanja Fajon, la ministre slovène des affaires étrangères, a applaudis la décision en reconnaissant cela comme étant un pas significatif et irréversible.
Par ailleurs, lors d’une cérémonie qui a eu lieu le jeudi, le ministre israélien de la défense, Yoav Gallant, a renouvelé la résolution d’Israël à détruire le Hamas, avec ou sans soutien américain. Il a adressé un message à la fois aux ennemis d’Israël et à ses plus proches alliés, soulignant que l’Etat d’Israël et ses tissus de défense ne peuvent être subjugués. Il a promis de rester résolu, de viser le Hamas, le Hezbollah, et d’obtenir la sécurité.
Bezalel Smotrich, le ministre israélien des finances de l’extrême droite, est convaincu qu’Israël remportera une victoire complète dans cette guerre, malgré la réticence du président Biden et l’embargo sur les armes. Il a ajouté que la suppression de Hamas nécessite une conquête complète de Rafah, le plus tôt serait le mieux.
Par ailleurs, David Cameron, le ministre britannique des Affaires étrangères, a marqué jeudi l’écart entre le Royaume-Uni et les États-Unis sur la question de l’arrêt des ventes d’armes à Israël. Il a expliqué que contrairement aux États-Unis, qui sont un important fournisseur d’armes à Israël, le Royaume-Uni n’a que quelques licences et ses exportations de défense vers Israël sont bien inférieures à 1% du total.
Dans un discours prononcé à Londres, M. Cameron a souligné que l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord devrait augmenter ses dépenses militaires. Il a souligné que les ventes d’armes britanniques resteraient toujours assujetties à un « processus strict » en accord avec le droit international. Il a ajouté que le Royaume-Uni ne soutiendrait aucune opération majeure à Rafah sans un plan bien défini pour protéger et sauver des vies.
Les délégations israéliennes et du Hamas ont quitté le Caire mais les efforts de médiation se poursuivent.
Selon Al-Qahera News, un média avec des liens proches de l’intelligence égyptienne, des représentants d’Israël et du Hamas palestinien se sont retirés du Caire après deux jours de pourparlers. Les négociations avaient pour but d’établir un cessez-le-feu dans le conflit de Gaza qui dure depuis sept mois. L’Egypte, avec l’aide de médiateurs internationaux comme le Qatar et les États-Unis, continue à faire des efforts pour concilier les différences de ces deux parties.
Depuis sa fondation en 1948, Israël a considéré les États-Unis comme un allié de longue date. Harry Truman, alors président des États-Unis, a reconnu Israël seulement onze minutes après sa création. Cette histoire a été soulignée par Joe Biden lors d’une visite à Tel Aviv le 18 octobre.
Izzat Al-Risheq, membre du bureau politique du Hamas, a déclaré dans un communiqué que les actions d’Israël à Rafah et à son point de passage visent à entraver les efforts de médiation au Caire. Malgré cela, le Hamas maintient son engagement à accepter la proposition formulée par les médiateurs.
D’après l’ONU, suite à l’intensification des opérations israéliennes, 80 000 personnes ont été contraintes de fuir Rafah.
L’UNRWA, l’organisme des Nations Unies qui s’occupe des réfugiés palestiniens, a annoncé jeudi que depuis le 6 mai, à peu près 80 000 individus ont été contraints de quitter Rafah au sud de la bande de Gaza, à la suite d’une directive d’Israël demandant aux Palestiniens vivant à l’est de la ville de partir. L’entité a également exprimé son inquiétude sur X à propos de la situation de ces familles, soulignant que partout dans la bande de Gaza, la sécurité était précaire.
Joe Biden avertit qu’il pourrait suspendre les expéditions d’armes d’attaque à Israël.
Par ailleurs, un grand nombre de tirs d’artillerie à Rafah, la partie la plus méridionale de la bande de Gaza, a été signalé par l’Agence France-Presse (AFP) jeudi. Selon un local qui vit dans une rue abandonnée de Rafah, des avions de combat et des chars sont constamment en action et il est difficile de prévoir où les roquettes vont tomber.
Jeudi, la bande de Gaza a également été ciblée par des bombardements de l’armée israélienne. Des raids aériens ont été menés sur à peu près 25 cibles dans le secteur de Zeitoun, au sud-est de Gaza en visant spécifiquement à détruire les seules installations militaires du Hamas, y compris les positions de snipers. Suite à ces offensives, le secteur a été ravagé par de nombreux bombardements pendant toute la nuit. Selon un journaliste de l’AFP, plusieurs personnes pourraient être piégées sous les débris.
L’armée israélienne a également entrepris une action « contre les infrastructures terroristes » au sein du quartier de Zeitoun, à Gaza.
Sur la plateforme de messagerie Telegram, l’armée israélienne a déclaré avoir initié une nouvelle opération ciblée pendant la nuit dans le quartier de Zeitoun à Gaza. Le but avoué de ce raid est d’éradiquer les terroristes de la région et de détruire leurs infrastructures. L’opération a démarré avec une série de bombardements aériens sur presque 25 objectifs comprenant des bâtiments militaires, des postes d’observatoires, des tunnels, des emplacements de snipers et d’autres structures liées au terrorisme, selon ce qu’Israël a rapporté. Les troupes israéliennes seraient à l’heure actuelle en mission pour garantir la sécurité de la zone de Zeitoun.
Israël a jugé « extrêmement décevante » la menace du président américain Joe Biden d’interrompre certaines livraisons d’armes. Jeudi, l’ambassadeur d’Israël à l’ONU a qualifié la récente annonce de Biden d’arrêter l’envoi de certaines armes à Israël si une offensive majeure à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, avait lieu, de « difficile à accepter et très décevante ». Gilad Erdan, s’exprimant sur la radio publique israélienne, a dit : « C’est une déclaration assez difficile à accepter et décevante venant d’un président envers qui nous avons été reconnaissants depuis le début de la guerre ». Erdan a ajouté que « toute forme de pression exercée sur Israël ou toute restriction qui lui est imposée, même par des alliés proches soucieux de nos intérêts, est interprétée par nos ennemis » et « leur donne de l’espoir ».
La situation actuelle, jeudi 9 mai à 20 heures reste très tendue.
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