La manifestation d’étudiants en soutien à la Palestine a entravé l’accès à l’édifice historique de Sciences Po Paris le mardi 7 mai, comme l’a constaté un reporter de l’Agence France-Presse (AFP). La rue Saint-Guillaume où se trouve l’édifice a été barrée avec des ordures, du mobilier public et des vélos en libre-service. Présents sur les lieux, une vingtaine d’étudiants cachaient une partie de leurs visages avec des masques ou des keffiehs, tandis que des officiers de police se tenaient à proximité.
La veille, la police était intervenue pour évacuer des manifestants qui avaient érigé des tentes en signe de solidarité avec les habitants de Gaza. Selon une première année anonyme, les étudiants ont eu recours à ces méthodes non conventionnelles de protestation après avoir épuisé les autres options. Elle a également relevé que dix étudiants continuent leur grève de la faim, qui a commencé après l’évacuation des locaux.
Les revendications des étudiants comprennent une enquête sur les liens de Sciences Po avec des institutions académiques israéliennes et l’arrêt des sanctions contre les étudiants mobilisés. Les cours sont terminés depuis vendredi et les étudiants qui ont des examens peuvent accéder à l’établissement par une porte adjacente, a constaté le reporter de l’AFP. Toutefois, la direction de Sciences Po n’a pas encore répondu à leurs revendications.
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