Platforms such as Doctolib and Maiia are expected to assist in the collection of the proposed « no-show tax » of 5 euros. This was a suggestion brought forward by the prime minister, Gabriel Attal, as a means to minimize missed medical appointments. Frédéric Valletoux, the delegated health minister, confirmed this on Sud Radio on April 11th.
The idea is for the patient at fault to be charged this amount using the bank card details collected by the appointment platforms. The application of this penalty would then be at the discretion of the doctors. However, this proposal has met opposition from Stanislas Niox-Chateau, the CEO of Doctolib.
In an interview with France Inter, he stated that introducing such an administrative burden is not the solution and could hinder access to healthcare. Niox-Chateau pointed out that there are 15% of patients who suffer from digital illiteracy (those without Internet or who are unable to use it) and another 5% that do not own a bank card. Therefore, disrupting these patients’ access to healthcare is not acceptable.
He also questioned how practitioners who mostly deal with in-person appointments will handle this change. Handling patient complaints and disputes would become an overwhelming task for the secretaries to manage, particularly having to record bank cards.
The regulation is due to go into effect from January 1, 2025.
Selon M. Valletoux, le concept de pénalité a été proposé par Doctolib il y a quelques mois. Il explique que la mise en œuvre de cette idée est un défi technique et organisationnel. Cependant, il assure que toutes les plateformes coopéreront et que la mise en œuvre sera effective avec leur aide.
En dépit de cela, seulement la moitié des rendez-vous sera prise en compte par ce système, laisse-t-il entendre, vu que l’autre moitié est organisée par les assistants ou directement par les médecins. Il précise toutefois que cela ne représente pas une charge administrative énorme pour les médecins et est techniquement réalisable. Il a également confirmé que la pénalité entrerait en vigueur à partir du 1er janvier 2025, en vertu d’une loi qui serait présentée au Parlement à la fin de cette année.
Des acteurs tels que l’Ordre des médecins et de syndicats, tels que l’Union française pour une médecine libre, estiment le coût des consultations ratées à 27 millions chaque année. Cependant, cette estimation est jugée peu fiable statistiquement, en l’absence d’études exhaustives auprès des professionnels de la santé ou d’enquêtes statistiques effectuées auprès d’un échantillon représentatif des médecins français.