Synopsis Depuis plusieurs siècles, la course « L’Océan de Feu » se déroule tous les ans.
C’est une course de survie, longue de 5000 kilomètres, qui traverse le désert arabe.
En 1890, le Sheikh Riyadh décide, pour la première fois de l’histoire de la course, de convier un cavalier américain et Hidalgo, son cheval, à participer.
Cow-boy et messager pour la cavalerie, Frank T.
Hopkins est une légende dans l’Ouest américain, considéré comme le plus grand cavalier de l’histoire.
Le cheikh veut organiser une confrontation entre les meilleurs cavaliers bédouins sur leurs chevaux arabes, et le cavalier américain sur son Mustang.
Mais ses adversaires sont bien décidés à lui mener la vie dure et à ce qu’il ne voit pas la ligne d’arrivée.
Distribution et technique Distribution Viggo Mortensen joue le rôle de Frank Hopkins.
Zuleikha Robinson joue le rôle de Jazira.
Omar Sharif joue le rôle de Sheikh Riyadh.
Louise Lombard joue le rôle de Lady Anne Davenport.
Adam Alexi-Malle joue le rôle d’Aziz.
Saïd Taghmaoui joue le rôle de Prince Bin Al Reeh.
Silas Carson joue le rôle de Katib.
Harsh Nayyar joue le rôle de Yusef.
J.
K.
Simmons joue le rôle de Buffalo Bill Cody.
Adonis Maropis joue Sakr.
Victor Talmadge joue Rau Rasmussen.
Peter Mensah joue le rôle de Jaffa.
Malcolm McDowell joue le Major Davenport.
Floyd « Red Crow » Westerman joue le Chef Eagle Horn.
Elizabeth Berridge joue Annie Oakley.
Joshua Wolf Coleman joue le Kurde.
Franky Mwangi joue le jeune esclave.
Technique Le film est réalisé par Joe Johnston.
John Fusco a écrit le scénario.
Le producteur est Casy Silver, et Don Zepfel est le producteur exécutif.
Le film est produit par Walt Disney Pictures, Casey Silver Productions et Touchstone Pictures.
Shelly Johnson est le directeur de la photographie.
James Newton Howard a composé la musique originale.
Le montage est de Robert Dalva.
Barry Robison est le chef décorateur.
Les costumes sont de Jeffrey Kurland.
Le film est distribué par Buena Vista Pictures.
Critique du film « Hidalgo » est un très beau film, autant par cette étonnante histoire de course, que par la beauté des paysages désertiques.
C’est aussi l’occasion de revoir Omar Sharif dans le désert, quelques décennies après « Laurence d’Arabie ».
Laisser un commentaire