Le film « Kill Bill » est un film américain réalisé par Quentin Tarantino et dont la particularité est d’avoir été proposé au public en 2 parties, en 2003 et en 2004.
L’histoire est celle d’une ancienne tueuse à gages qui assiste au massacre de toutes les personnes présentes le jour de son mariage.
Elle décide de se venger et après avoir passé quatre années dans le coma, elle se met à la recherche d’un certain Bill, l’instigateur de tous ces meurtres.
Plus qu’un film, c’est un véritable hommage au cinéma asiatique que Tarantino a voulu faire par le biais de « Kill Bill« .
Des scènes de combat particulièrement réussies et à couper le souffle font sans aucun doute écho aux films de karaté et autre kung-fu.
La distribution est brillante et l’on retrouve en haut de l’affiche Uma Thurman dans le rôle principal.
Elle est à l’image de son personnage, Black Mamba, virevoltante et convaincante à souhait.
Il s’agit probablement de sa meilleure interprétation au cinéma.
Le reste du casting est tout aussi brillant avec notamment l’excellent David Carradine, Lucy Liu, Darryl Hannah et Vivica Fox.
Quelques anecdotes Le film connut un succès fulgurant dès sa sortie, et ce, un peu partout dans le monde.
« Kill Bill » 1 et « Kill Bill volume 2″ ont rapporté plus de 330 millions de dollars de recettes.
La scène la plus spectaculaire du film est sans aucun doute le combat au sabre entre les nombreux assaillants et Uma Thurman.
Cette scène a nécessité huit semaines complètes de tournage.
Il s’agit du quatrième film de Tarantino, six ans après « Jackie Brown ».
« Kill Bill » marque aussi les retrouvailles entre le réalisateur et Thurman qui avaient tourné ensemble le célèbre « Pulp Fiction ».
Une partie du tournage eut lieu au Beijing Film Studio avec une équipe cosmopolite composée de techniciens américains, chinois et japonais.
Pour les besoins du film, tous les comédiens ont dû s’astreindre à un entraînement très physique notamment composé de séances de stretching et de musculation.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.