D’une superficie d’un peu plus des 2/3 de celle de la France, 377835km² contre 675417km², l’archipel réunit plus de 6800 îles, étalées sur environ 3000km, de l’extrême Nord (île de Hokkaido), à l’extrême sud (Okinawa).
La majorité de la population est urbaine.
Le mode de vie Dans cet univers exigu, où les appartements ne dépassent guère 40m², il est très commun de voir s’entasser des familles de 3 ou 4 personnes.
Le taux de natalité diminue avec 1,29 enfant par femme (0,99 à Tokyo) et pousse donc les couples à envisager leur avenir d’une façon différente.
La cellule familiale traditionnelle, comme on l’a vécue jusqu’à présent, a tendance à disparaître, pour se construire différemment.
Nombreux sont les jeunes couples qui préfèrent avoir un animal domestique, moins cher, pensent-ils, que de se lancer dans l’aventure incertaine de l’éducation d’un enfant.
L’alimentation Tout est possible dans des villes comme Tokyo, Osaka, Nagoya ou Sapporo, et il est facile de trouver les produits dont on a besoin, même ceux d’origine étrangère, mais il faudra y mettre le prix.
En général, les Japonais restent assez traditionnels dans la constitution de leurs repas : riz blanc, soupe au miso (pâte de haricots bruns), poisson grillé et légumes divers, tels que le daïkon (gros radis blanc), le cèleri en branche, les tomates, etc.
Le quotidien est fait de 3 repas.
Du petit-déjeuner au dîner, la diversité et la richesse des mets font du Japon un pays à haute qualité nutritive, donnant ainsi un des taux de maladies liées à l’alimentation les plus faibles parmi les pays industrialisés.
On mange équilibré, de 15 à 18 éléments nutritionnels différents par jour, contre moins de 10 aux USA, et on vit vieux, plus de 35000 centenaires, dans un Japon qui se fait un point d’honneur à respecter l’utilisation d’ingrédients traditionnels.
Enfin, contrairement à nombre d’idées reçues et d’images erronées, il est très facile de sortir et de manger dans un restaurant pour moins de 1500 yens (13 à 15€) par personne.
* Prix constaté en juillet 2011.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.