Aussi, aujourd’hui, la consommation de drogue chez les adolescents et en recrudescence et est un véritable fléau, un dangereux problème de santé publique.
Pourquoi la période de l’adolescence favorise la prise de drogues ? Comment nos ados ont ils leur premier contact avec la drogue ? Quels sont les signes qui doivent nous alerter ? Définition Rappelons que la toxicomanie est un usage, qu’il soit persistant ou épisodique, de produits toxiques, par ailleurs licites ou non, comme le tabac, l’alcool, certains médicaments, mais aussi le cannabis et les drogues dites « dures » comme la cocaïne, le crack ou l’héroïne.
La dépendance à ces produits peut bien sûr entraîner des conséquences néfastes sur la santé physique et mentale de l’individu et plus généralement, avoir des effets sur la famille.
Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), les toxicomanies constituent l’une des principales causes de handicap social.
Et dans le cas des jeunes, l’abus de drogues les conduit à interrompre leur développement intellectuel et social.
L’adolescence, quête identitaire Voici une période particulière pendant laquelle le jeune expérimente le monde extérieur et recherche sa propre identité.
Parfois, dans un climat de « heurts », le recours à la consommation de drogues tend à devenir le danger le plus fréquent.
Le premier contact avec la drogue Il se fait généralement sous influence.
Cette « initiation » correspond au besoin de s’identifier à un groupe et à faire ce qu’interdisent généralement les adultes.
La curiosité, la recherche du plaisir et d’expériences nouvelles poussent nos jeunes adolescents à l’essayer.
Les premiers signes d’alerte Troubles affectifs : tristesse, excitation, angoisse, peurs excessives, isolement, dévalorisation.
Problèmes de sommeil : réveils incessants, cauchemars, endormissement très difficile, somnolence diurne.
Comportement alimentaire perturbé : boulimie, anorexie.
Troubles psychosomatiques : crises de tétanie, maux de ventre, fatigue importante… Difficultés scolaires : la baisse des résultats, la phobie ou l’échec scolaire, retards… Alors sans en devenir paranoïaques pour autant, soyons attentifs et veillons du mieux que nous le pouvons sur nos ados.
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