L’intérêt Le nom « Imago Mundi« , qui signifie « image des mondes », est emprunté à une série d’ouvrages de 1410, du cardinal et théologien Pierre d’Ailly.
Cette oeuvre était basée sur la cosmographie ou l’étude de l’univers et des mondes.
Cette encyclopédie gratuite regroupe près de 26000 pages, un dictionnaire des symboles, des textes anciens et plus récents.
L’originalité Imago Mundi se veut être, avant tout, un ouvrage de savoir, un guide invitant au voyage et à la découverte, repoussant un peu plus les limites de nos propres curiosités.
Contrairement aux autres encyclopédies en ligne gratuites, comme Wikipédia, elle est le fruit d’un travail personnel, le projet un peu fou d’un passionné qui vérifie et retranscrit les textes.
Le fonctionnement Cette bibliothèque gratuite en ligne se veut intuitive, afin de faciliter les recherches et l’accès aux informations.
Pourtant, il faut dépasser les a priori d’un design et d’une présentation classique, voire obsolète, pour découvrir toute la richesse du contenu de cette encyclopédie et de son dictionnaire des symboles en ligne gratuit.
Les thèmes L’encyclopédie présente 3 mondes différents, celui de la matière, du vivant et de l’humain.
Elle est subdivisée par thèmes et sujets, renvoyant chacun à des chapitres et des pages, les uns reliés aux autres par des liens textuels.
Mais, Imago Mundi permet aussi, sur sa page d’accueil, une recherche par mots clés qui facilite l’accès aux informations.
Comment s’y retrouver ? Les thèmes sont, chacun, représentés par une série de couleurs et expliqués dans un dictionnaire des symboles en ligne.
Par exemple, le bleu concerne les pages du monde de la matière (les sciences), le vert est lié au monde du vivant, et le rouge est destiné au monde des humains.
En conclusion Le contenu proposé sur Imago Mundi et les sources utilisées font l’objet d’une attention toute particulière, et l’auteur se base sur des ouvrages de référence, un gage de qualité, pour retranscrire et partager ce savoir.
Au gré des pages, cette encyclopédie en ligne nous transporte à la découverte de nouveaux mondes.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.