Gilles Paul Esnault est un peintre vivant, de nationalité française.
Son amour pour l’art est né, dès son plus jeune âge.
Il a tout d’abord commencé par le goût de la musique puis de la peinture.
Sa peinture connaît un succès extraordinaire, grâce à ce don visuel que lui même n’arrive peut-être pas à expliquer.
Ses amateurs le qualifient de « surdoué ».
En effet, si « œil il de faucon » lui va à merveille, c’est pour sa grande maîtrise technique.
Il suffit de regarder une seule fois, une de ses œuvres, pour comprendre.
S’il existait l’avocat du diable, il pourrait seulement débattre sur ses thèmes choisis, qui dépendent du goût de chacun.
Par contre, il est impossible de ne point être estomaqué, bouche bée devant un tel génie.
La raison est simple.
L’assemblage de toutes ces touches de couleurs, posé sur une toile, semble être un jet d’encre, projeté sur un support papier spécial pour photo.
C’est si proche du réel, que le réel vient effectivement tromper le spectateur.
L’artiste est un véritable joueur et cela marche.
Celui qui regarde est troublé et n’arrive plus à écouter son cerveau : une peinture ? Une photographie ? Une fenêtre qui s’ouvre vers le monde extérieur ? Son espace-temps est perturbé, au point de ne plus se rappeler qu’il est simplement dans une galerie en train d’observer des peintures à l’huile.
Et ce n’est pas tout.
Non seulement l’artiste arrive à semer le doute, mais il l’accentue en ajoutant une pointe d’humour à sa façon.
« Water painting » qui signifie peinture à l’eau est un tableau représentant la vie courante d’un être humain, coincé dans sa voiture, sous la pluie peut-être pour aller travailler.
L’humour du peintre est caché dans le titre.
En effet, le titre a un double sens : celui d’avoir donc la fonction de titre c’est-à-dire bien souvent de résumer la scène qu’il représente et celui de définir également une technique.
Le spectateur pense donc dès une première lecture que le tableau est une aquarelle par exemple.
Bien entendu, c’est une feinte, il s’agit d’une peinture à l’huile.
Gilles Paul Esnault a pris ce style au mouvement Hyperréalisme, né au XXème siècle en Amérique.
Avec le recule, on peut dire que cela lui a réussi.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.
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Cet artiste est formidable ! Merci pour cette belle découverte ;-)