La tradition britannique de l’aquarelle qui remonte à la fin du XVIIIe siècle a ouvert la voie à la création d’une palette particulièrement étendue.
Les boîtes d’aquarelle disponibles dans le commerce proposent souvent une gamme de couleurs trop large pour le débutant.
Par conséquent, il est conseillé d’acheter une boîte vide et de composer soi-même sa propre gamme de nuances.
La qualité supérieure des couleurs et la délicate luminosité des lavis obtenus confèrent à ce médium une fraîcheur tout à fait adaptée à la composition florale et la nature morte.
La rapidité d’exécution de cette technique est également parfaite pour la peinture de paysages.
La gouache conditionnée en tubes propose des couleurs opacifiées par des diluants tels que le sulfate de baryum ou la craie.
Les pigments, mélangée à de la gomme et à des agents mouillants, offrent de beaux nuanciers de teinte.
La gouache utilisée conjointement à l’aquarelle permet d’aborder des effets de lavis transparents ou au contraire des opacités, parfaitement adaptés à la composition florale.
Les graphistes ont très souvent adopté la gouache pour son faible coût, son haut pouvoir couvrant et la belle matité de ses teintes qui, appliquées, donnent une surface unie sans aucune trace de pinceau.
Quant à l’acrylique, les couleurs permanentes ne jaunissent pas et résistent parfaitement à l’eau après séchage.
Il s’agit en réalité de matière plastique, fabriquée à partir de produits pétroliers.
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