Les migraines chroniques Vous ressentez une douleur pulsatile d’un seul côté du crâne, qui s’aggrave avec l’effort physique, s’accompagne d’une sensibilité excessive aux bruits et à la lumière de nausées.
Aucun doute, c’est une migraine ! Un diagnostic confirmé, si la crise dure de quatre à soixante-douze heures, pendant lesquelles vous n’avez d’autres recours, en absence de traitement, que de rester allongé dans le noir.
La douleur se situe d’un seul côté de la tête, au-dessus d’une arcade sourcilière ou sur la tempe.
La migraine résulte d’une inflammation transitoire des artères méningées avec dilatation des vaisseaux.
L’origine de ces maux de tête, souvent sévères, est un cerveau hyperexcitable à toutes les perturbations.
C’est la fameuse migraine du week-end, provoquée par de changement de rythme, mais aussi celle que l’on ressent après une nuit trop courte, un repas plus copieux que d’habitude, une émotion, changement de climatique, trop de pression atmosphérique ou une stimulation sensorielle intense.
L’influence des bouleversements hormonaux est indéniable, de la puberté la migraine affecte quatre femmes et un homme, entre vingt-cinq et quarante ans.
Elle diminue pendant les grossesses et après la ménopause.
En période prémenstruelle, lorsque le taux d’œstrogène chute, les migraineuses souffrent de migraines plus intenses.
Quand un migraineux souffre plus facilement d’anxiété, de dépression ou de phobie, c’est parce que les crises intenses et fréquentes le font vivre dans la souffrance, et la peur d’en avoir d’autres et se replier sur lui-même.
Quel que soit la cause, ces maux de tête réapparaissent toujours, plus ou moins fréquemment.
Certains anti-inflammatoires, non-stéroïdiens comme l’ibuprofène, le naproxène sont conseillés.
Si le malade n’est pas soulagé en une ou deux heures, une consultation chez le médecin s’impose.
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