Les symptômes Manquer d’énergie positive, être un peu mélancolique (voire triste), sans allant, sont les premiers signes apparaissant après une déception, un traumatisme, ou un décès.
Lorsque ces sensations sont passagères, on appelle cela une « déprime ».
Mais quand ce sentiment de tristesse, de manque de « Pep’s » dure, qu’ils s’accompagnent d’envies incessantes de pleurer, de besoin de rester dans le noir sans voir personne, sans plus aucune envie, à ce moment, il s’agit d’une dépression et un traitement s’impose.
Les traitements médicamenteux On appelle communément la dépression nerveuse « trouble de la personnalité ».
La plupart des médecins vont proposer : Des antidépresseurs (sensés requinquer l’hormone du plaisir du cerveau) : les bienfaits de ces médicaments ne sont pas toujours identifiables par le patient, et parfois son corps ne les supporte pas.
Les effets secondaires sont nombreux.
Des anxiolytiques, qui devront calmer les angoisses incessantes du malade.
Il est important de savoir que la médication n’est prescrite que pour les effets physiques qu’elle procure, et si le patient se sent mieux, il n’aura pas pour autant réglé son problème.
Les autres traitements Le médecin peut conseiller à son patient de consulter un psychologue ou un psychiatre, qui l’aidera à identifier ses problèmes et à les régler.
Il s’agit là de traiter les véritables causes de la dépression du patient, qui, en parlant et en se remettant en cause, met toutes les chances de son côté pour aller mieux.
Par ailleurs, le sport est une solution de substitution efficace aux antidépresseurs, puisqu’il est aussi générateur d’endorphine (hormone du plaisir).
Enfin, il faut savoir qu’un « dépressif » ne guérit jamais de sa maladie : il la gère.
Le malade aura besoin de l’amour de son entourage, et d’attention.
Il n’y a rien de mieux pour retrouver l’envie de vivre.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.