Les points positifs Premier atout de cette belle petite moto, c’est son look.
En effet, elle n’a absolument rien à envier aux grandes soeurs qui sévissent en championnats supermotards.
Les lignes sont agressives et les roues de grand diamètre renforcent l’aspect ramassé de l’engin.
Autre point positif, l’équipement.
Elle s’en sort correctement avec son Neiman sur la colonne de direction, son starter sur le guidon, ou encore le tableau de bord digital.
Ce dernier est assez limité au regard des informations fournies, mais il se révèle cependant assez pratique.
L’équipement routier est aussi à la hauteur.
En effet, elle embarque des disques avant de 260 mm, ainsi que des étriers double piston.
Le disque arrière mesure 220 mm, ce qui assure des freinages très efficaces.
La SMS est couplée avec une boite à six rapports.
L’étagement est allongé pour éviter de trop souvent jouer avec le sélecteur.
Cette boîte assure des accélérations nerveuse, et le bridage jeune motard ne bride finalement pas trop les performances de la moto.
En version libre, elle dégage environ 30ch sous la selle, ce qui permets de réellement se faire plaisir à son guidon.
Les points négatifs Le premier point positif de cette Husqvarna concerne l’assise.
En effet, la position haute de la selle n’est pas adaptée à un confort optimal.
On peut même dire que le confort est sommaire pour un Supermotard.
De plus, l’ensemble suspensions/châssis se montre parfois un peu ferme lors de grandes balades.
Autre point noir, l’absence de démarreur électrique.
Pour pouvoir jouer avec votre engin, il faudra tout d’abord jouer du mollet droit si vous voulez réveiller le coeur de la bête.
Le bouchon du réservoir ne se ferme pas à clef, point quelque peu dérangeant si vous souhaitez laisser votre husqvarna 250 à la belle étoile.
Enfin, il faut vraiment faire attention à la puissance de freinage.
En effet, il est facile de se faire surprendre sur route humide par un freinage un peu trop appuyé sur la roue avant.