L’archéologie est la science des choses anciennes L’archéologue cherche avec son équipe des objets (poteries, ossement, outils) ou des constructions qui servent à comprendre le passé.
Pour découvrir les sites à fouiller, l’archéologue étudie les textes anciens mais aussi les travaux d’autres archéologues.
Il se fie aussi à son intuition.
Histoire de l’art L’archéologue doit connaître l’histoire de l’art : la sociologie, la numismatique (science des monnaies), la géologie et bien d’autres disciplines.
Début des fouilles Si les fouilles archéologique débutent véritablement au XVII ème siècle, c’est au XIX ème siècle qu’elles progressent.
La connaissance du passé s’améliore et les chercheurs se mettent en quête de preuves.
De nos jours Actuellement, nous sommes loin des méthodes de recherche des antiquaires (termes désignant les archéologues jusqu’au XIX ème siècle).
Le physicien, l’informaticien et bien d’autres spécialistes apportent un savoir précieux à l’archéologue.
Cette science du passé est devenue une science d’avant garde, et ses moyens techniques se sont considérablement accrus.
La photographie aérienne Elle permet d’établir une image du sol avant la fouille.
Grâce à elle, on localise et on cartographie les nouveaux sites qui ne sont pas toujours visible au niveau du sol.
La photographie par satellite fournit des informations visuelles en continu et permet de détecter des vestiges archéologiques cachés au fond des mers ou enfouis sous d’épaisses forêts.
Pour les fouilles subaquatiques On adapte les méthodes utilisées pour les fouilles terrestres.
Le site est d’abord photographié et cartographié, pour localiser les épaves les chercheurs utilise un matériel spécifique et adapté : le scaphandre autonomes permet des recherches archéologiques à des profondeurs jamais atteintes, le levage pneumatique qui lui sert à aspirer le sable et les petits objets, le treuil servant à remonter les objets de gros volumes.
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