Histoire et déroulement de l'élection de Miss Japon

L’histoire et les Miss Au Japon, ce concours de beauté connaît sa première représentation en 1950, et sa première Miss se prénommait Fujiko Yamamoto.
Il reste essentiel de souligner qu’en 1959, la jeune et belle Akiko Kojima gagne le prix de Miss Univers, se déroulant à l’époque en Californie.

Ensuite, en 2007, la Miss Japon s’appelle Riyo Mori.
C’est une jeune fille de 20 ans qui souhaite ouvrir sa propre école de danse à Tokyo.
Cette splendide beauté asiatique gagnera également le titre prestigieux de Miss Univers 2007, à Mexico.
C’est la deuxième fois que le Japon remporte ce prix.
La Miss Japon 2009 se prénomme Eniri Miyasaka et fait scandale.
Elle souhaite se présenter au concours de Miss Univers dans une tenue provocante, et pose devant les photographes, revêtue d’un kimono sexy très court, laissant apparaître des porte-jarretelles et une culotte rose.
Cette tenue provocante crée la polémique au Pays du Soleil Levant.
Certains crient au scandale et disent que son attitude est vulgaire, d’autres la critiquent en lui reprochant de ne pas respecter la culture et les valeurs de son pays.

Finalement, elle s’excusera publiquement et portera un kimono plus traditionnel.
Le déroulement de l’élection Au Japon, les jeunes femmes sont élues selon les critères de beauté nipponne.
On remarquera, notamment, que les Miss sont relativement petites et menues.
En 2010, la jeune Mina Hayakashi est élue lors d’une cérémonie, dont le thème s’intitule « de la femme au joli cœur, laborieuse et optimiste ».
Sachez que c’est la Française Inès Ligron qui est la présidente du Comité Miss Japon.
A l’instar de l’emblématique Geneviève de Fontenay en France, elle veille avec une grande vigilance sur les jeunes prétendantes au titre de Miss Japon.
Elle subit toutefois de nombreuses critiques, car il lui est reproché de ne pas respecter les codes de la société japonaise.
Elle n’hésite pas à bousculer les jeunes femmes timides et désire les transformer en femmes fatales et sensuelles.
Ce qui reste parfois difficile pour des jeunes japonaises, qui ont reçu une éducation mettant en avant la discrétion et l’humilité.