Un maître mot : la disponibilité Votre ado n’aime pas (plus ?) se confier à vous.
Ses secrets, elle les garde pour ses copines, persuadée que votre vie privée ne la regarde pas.
C’est ainsi et c’est normal.
Mais il lui arrive forcément de temps en temps de baisser la garde.
De se laisser aller à un commentaire (« la pilule du lendemain, tu parles d’un nom ! ») ou une question (« ça marche comment, un stérilet ? »).
Ne laissez surtout pas filer l’occasion : elle est dans de bonnes dispositions puisqu’elle aborde elle-même le sujet, il faut en profiter.
Informer sans faire la leçon Vous le savez : votre ado est susceptible.
Sa sensibilité est à fleur de peau.
Alors, ne vous lancez surtout pas dans un speech moralisateur sur le mode « tu dois absolument te protéger ! » : elle se refermerait aussitôt comme une huître.
Listez-lui simplement les méthodes qui existent, en précisant leurs avantages et inconvénients.
Restez neutre.
Montrez l’exemple Vous prenez la pilule chaque matin au petit déjeuner ? Faites-le ostensiblement devant elle.
Votre gynécologue vous a prescrit un nouveau stérilet ? Sortez-le de sa boîte et lisez le mode d’emploi en sa présence.
Elle verra que vous vous préoccupez aussi de votre propre contraception, pas seulement de la sienne.
Cela l’encouragera forcément à aborder le sujet.
Finalement, il en va de la contraception comme de tous les sujets : il faut être présent auprès de son ado, prêt à la prendre par la main, mais ne surtout pas la brusquer !
La Commission européenne a conseillé de souhaiter de "bonnes vacances" au lieu de "joyeux Noël". Mais pourquoi cette demande ? Découvrons-le ensemble
Les violentes protestations se poursuivent au Chili: la mort de Daniela Carrasco est toujours entourée de mystère, alors que "Ni una menos" accuse la police de torture.
Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, M. Kuleba, a appelé la population à boycotter trois entreprises bien connues.