Les critères communs entre chaque entreprise Dans toutes les formes de sociétés créées, vous trouverez des bases communes.
À commencer par le fait que cette entité est considérée comme une personne.
À savoir : une identité (dénomination sociale), ainsi qu’une adresse de domiciliation (le siège social).
Cette entreprise possède un ou plusieurs responsables qui sont désignés afin de diriger, encadrer et représenter la société.
Un règlement intérieur (les statuts) est établi, dans lequel sont consignées toutes les règles à respecter pour le fonctionnement quotidien de la société.
Le ou les créateurs (associés) de l’entreprise ne doivent pas confondre les biens de celle-ci avec les leurs, et surtout à ne pas les utiliser à des fins personnelles.
Les formes juridiques Il n’existe pas qu’une seule forme juridique pour les sociétés en France.
Vous trouverez ci-dessous les sigles utilisés dans notre économie avec leurs champs économiques associés.
Les plus répandues Les sociétés qui sont dans la catégorie passe-partout, dans le but d’exercer une activité commerciale: S.
A.
R.
L.
(Société à responsabilité limitée), qui peut aussi être une S.
C.
O.
P.
(Société coopérative et participative), E.
U.
R.
L.
(Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée) et une S.
N.
C.
(Société en nom collectif).
Les formes qui demandent le plus de capital Sociétés qui ont besoin, dès le départ, de capitaux importants pour se développer mais également dans le but de gagner en crédibilité : S.
A.
(Société anonyme) et S.
A.
S.
(Société par actions simplifiée).
Pour les professions libérales Les professions libérales réglementées (médecins, infirmières, avocats, experts-comptables, huissiers de justice…) ont des statuts spécialisés à leur domaine qui sont une S.
E.
L.
(Société d’exercice libéral) et une S.
C.
P.
(Société civile professionnelle).
De plus, une inscription dans l’ordre est obligatoire.
Un statut souple pour l’immobilier Une S.
C.
I.
(Société Civile Immobilière) est la solution la plus souple et la plus avantageuse financièrement.
À condition d’être conseillé par des personnes connaissant bien tous les tenants et aboutissants d’une telle société.
Le groupement d’entreprises Un G.
I.
E.
(groupement d’intérêt économique) permet à plusieurs entreprises de se regrouper autour d’un projet en vue de se développer ou de faire cause commune pour un appel d’offre.