Diabète infantile : la nécessité de bien s'entourer

Définition du diabète infantile Le diabète concernant le plus fréquemment l’enfant est celui de type 1, (insulinodépendant) qui nécessite des injections d’insuline quotidiennes.
Cette maladie est due à la destruction des cellules bêta des îlots de Langerhans du pancréas.
Ces cellules sécrétent l’insuline indispensable au mécanisme d’absorption des sucres.

Si ces cellules sont détruites, la fabrication d’insuline se fait peu ou plus, le sucre n’est plus assimilé, et il y a hyperglycémie.
Les personnes à bien choisir A la découverte de la maladie, une hospitalisation va avoir lieu.
Tout un apprentissage pratique et théorique sera fait lors du séjour à l’hôpital.
Les parents vont devoir se rapprocher d’un grand nombre de personnes en qui ils devront avoir une grande confiance.
En premier arrive le choix du pédiatre spécialisé dans le diabète infantile.
Il aura le rôle de médecin, mais aussi de professeur.
Il devra apprendre aux parents le fonctionnement de cette maladie afin que le diabète puisse être géré au mieux dans le quotidien de l’enfant.

Dans le même laps de temps, on choisit un nutritionniste qui apprendra à établir la meilleure alimentation possible, et qui expliquera à l’enfant que le diabète n’est pas source de privation, et que son alimentation est celle que chacun d’entre-nous devrait avoir.
Il est judicieux de se rapprocher d’un grand hôpital possédant une unité spécialisée dans le diabète infantile.
Une telle visite peut avoir lieu une fois par an, afin d’être tenu informé des avancés de la recherche médicale et de l’évolution des traitements.
Un pédopsychiatre peut être utile, mais attention à bien le choisir.
Il doit se concentrer sur les questions que se posent l’enfant, et non l’inverse.
Une infirmière libérale peut être sollicitée pour les injections lorsque l’enfant mange à la cantine, par exemple.
En conclusion Tout est plus simple lorsque l’on est écouté et conseillé aussi souvent que l’on en a besoin, d’où l’importance d’un bon entourage médical.
Le dialogue reste essentiel.
L’enfant va avoir des craintes, des angoisses, et les parents ont tous les outils pour le rassurer car il a une grande confiance en eux.
Il ne faut jamais l’oublier.