Origines de la depression Son apparition est souvent due à une combinaison de facteurs.
Ils peuvent être d’origine environnementale (travail, famille), sociétale (difficultés à trouver sa place dans notre monde) ou encore à des traumatismes psychologiques passés ou présents.
Mais son fondement peut aussi être biologique, émanant d’un déséquilibre se situant au niveau des neurotransmetteurs du cerveau.
Elle se manifeste alors par un état apathique, une perte de la volonté, un grand laisser-aller et aussi une fatigue chronique.
Les personnes atteintes se sentent très mal au point de parfois attenter à leurs jours pour abréger cette douleur si oppressante.
Comprendre et accepter Être en contact quotidien avec une telle pathologie est assez compliqué à gérer.
Parfois, l’on peut se sentir responsable, en tant que parent ou conjoint d’une personne maniaco-dépressive.
Il faut dans un premier temps accepter cette maladie, et se battre au côté de la personne qui traverse cette tempête.
Écouter et ne pas juger sont déjà 2 choses primordiales.
L’individu atteint de dépression à besoin de s’exprimer et de savoir que les gens qui l’entourent sont là pour l’épauler sans pour autant la « secouer » maladroitement en pensant bien faire.
Sinon vous arriverez à une rupture de dialogue et cet état ne fera qu’empirer avec le temps.
Soutenir Le soutien et l’aide sont 2 composantes qui permettront d’assister une personne dans une phase dépressive, mais pour soutenir efficacement, il faut aussi savoir prendre du recul et aussi penser à soi pour pouvoir être fort au moment ou « l’autre » vous sollicite.
De plus, à s’impliquer de manière excessive, vous risquez aussi de vous laisser sombrer dans cet état de dépression nerveuse.
Mon avis Aider une personne à sortir d’une dépression est loin d’être évident.
Il faut savoir être à l’écoute tout en sachant conseiller pour prévenir tout état suicidaire.
L’emploi combiné de médicaments et d’une thérapie permet d’avoir de bons résultats, pour peu que l’on ait identifié l’origine de celle-ci et que tout soit fait pour l’éliminer.
Car à seulement soigner les conséquences à grands coups de médicaments, on passe parfois à côté de la cause qui se résoudra uniquement par un travail plus en profondeur, souvent à l’aide d’un psychologue ou d’un psychiatre.