Aux origines Le 1er timbre apparaît en France le 01/01/1849, ce sont pourtant les Anglais qui créeront le 1er des timbres anglais le 06/05/1840.
Depuis, le timbre a connu une longue histoire qui s’est mêlée à l’histoire de la France, créant ainsi des timbres rares de collection, que se soit lors du siège de Paris par les Prussiens en 1870 avec l’envoi de plis par ballons ou des petits ballons de zinc jeté en amont de Paris contenant de précieux plis timbrés.
Un art de la connaissance Collectionner les timbres, c’est aussi s’intéresser à la géographie, à la politique et aux arts en général.
Cela peut être un outil pédagogique pour les jeunes enfants.
Une collection peut démarrer jeune (6 à 7 ans).
La technique est assez simple et ne requiert pas un savoir-faire complexe.
Le panorama existant est vaste.
Collectionner les timbres du monde entier, relève aujourd’hui de l’exploit, tant ils sont nombreux (plus de 500000 timbres).
Trop vastes, la plupart n’ont d’ailleurs que peu de valeur.
Une science de l’expertise Centrer son activité de philatéliste sur une collection de timbres neufs français est déjà une rude tâche, qui ne sera jamais accomplie, tant les 1res éditions coûtent cher et les anomalies sont nombreuses.
Ce sont ces dernières qui sont les plus difficiles à « chasser ».
Le 1er timbre français est de type Cérès de J.
J.
Barre, le 20 centimes noir, suivi aussitôt par le 1 franc vermillon (ou carmin), ce dernier présentera les premières anomalies de l’histoire de la philatélie avec une forme appelée têtes-bêches.
C’est le prélude à une science en perpétuelle progression, celles des variantes, on catalogue les différences de couleur à l’édition, le cadrage plus ou moins juste des timbres anciens, les erreurs dans le dessin même.
Cette collection se révélera l’œuvre d’une vie.
Quelques conseils de manipulation et de choix de support de conservation On peut conserver ses timbres dans le cadre d’une collection thématique (animaux, tableaux, personnages historiques, paysages) et utiliser un catalogue de timbres.
Pour une collection complète, il existe des albums pré-imprimés (mais onéreux) où il ne reste plus qu’à placer les timbres au fur et à mesure.
Seront nécessaires : Une loupe pour observer et identifier.
Une pince à timbres pour manipuler.
Des pochettes en plastique pour stocker avant de classer.
Et, bien entendu, des catalogues de cotations, les plus connus étant ceux de Yvert et Tellier.
Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, M. Kuleba, a appelé la population à boycotter trois entreprises bien connues.