Une moto est catégorisée selon deux aspects : la partie cycle et le moteur Le moteur d’un roadster est conçu sur la base d’anciennes motos sportives.
Les cylindrées tournent autour de 125cc, 600cc ou plus de 1000cc.
Les roadsters de la gamme N sont démunies de protection, celles de la gamme S ou F sont plus carénées.
Une moto trail ou GT (Grand Tourisme) est équipée d’un châssis robuste.
Un trail a une hauteur de selle – des débattements – une capacité de chargement importante.
Auparavant il était de petite ou moyenne cylindrée, il est maintenant doté d’un moteur de plus en plus gros, que ce soit mono – bi – tricylindre.
Les aspects pratiques d’un roadster et d’un trail Les roadsters circulent aisément sur la route.
Ils sont moins pratiques en ville, mais offrent quand même un confort acceptable.
Puissantes, agiles, nerveuses, ils sont très prisés.
Ces qualités peuvent aussi tourner en inconvénients.
Sa conduite requiert de l’expérience, surtout pour les grosses cylindrées.
La sécurité est moindre.
Leurs montures s’avèrent fatigantes à la longue.
Les autoroutes se ressentent à plus de 10km.
Leur vitesse de pointe peuvent aller jusqu’à plus de 200km/h et ils ont une grande autonomie.
Ils offrent un bon rapport qualité prix en plus d’être fiables.
Ils s’adaptent bien à un déplacement quotidien banlieue – ville.
Les trails sont d’usage souple.
Ce sont des motos homologuées qui se montent à la fois sur route que sur piste tout terrain.
Avec la position de conduite droite, les déplacements en ville sont agréables.
Les conditions sont : avoir de longues jambes et s’équiper de pneus mixtes.
Les trails sont aussi ludiques.
Ils permettent une randonnée en campagne et même de franchir les obstacles.
Leur esthétique apparente de tout terrain leur fait défaut.
Les réservoirs des trails permettent de parcourir plus de 200 bornes.
Passer par l’autoroute n’est cependant pas conseillé, sauf urgence.
La double montée est possible.
Les trails sont très abordables et sont conseillés aux débutants.
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