Un prodige de la motocross Jean–Michel Bayle est né le 1er avril 1969 à Manosque, petite ville des Alpes-de-Haute-Provence.
Tout commence pour lui avec le motocross en 1981, à l’âge de 12 ans, l’âge où ses parents lui offrent un YZ d’occasion.
Après de petits débuts, avec notamment une fracture du bras, il commence enfin à s’améliorer et à devenir l’un des meilleurs des petits de son âge avec plusieurs titres comme le vainqueur du trophée de France Minivert.
C’est en 1988 que sa carrière prend une extrême envolée, lorsqu’il devient alors champion du monde 125.
Il pense déjà à aller battre les américains chez eux en Amérique.
En 1989, ses efforts payent puisqu’il est sacré champion du monde 250, après un travail acharné et une casse au niveau du poignet.
En 1991, il bat les américains chez eux puisqu’il remporte le supercross US.
Cette même année, il devient de motocross US 250 et 500.
Son pari des États-Unis est donc une réussite totale.
En 1992, il remporte le prestigieux guidon d’or, après avoir battu d’une seconde tout le monde, notamment le quadruple champion du monde de 500 Eddie Lawson.
Il le remporte aussi l’année suivante, en 1993.
Son parcours est l’un des plus prodigieux, Jean–Michel pense alors qu’il n’a plus rien à prouver dans le merveilleux monde du motocross et se lance un nouveau défi.
Un nouveau défi Après avoir décidé de changer de discipline par pur défi, Jean–Michel passe alors aux grands prix de vitesse.
Même si ses résultats ne sont pas aussi exceptionnels que ses résultats en cross, il gagnera plusieurs titres.
Il sera notamment sacré vainqueur du mythique bol d’or en 2002 ainsi qu’en 2003, et vainqueur du 24h du Mans moto.
Son nom sera ajouté au Motocycle Hall Of Fame en 2000, renforçant son statut de personnage mythique dans le monde du motocross.
Après la moto viendra la politique, puisque Jean–Michel sera candidat aux élections municipales Forcalquier, petite commune française.