Les causes Il existe généralement un risque plus élevé chez les personnes génétiquement prédisposées aux polypes intestinaux, qui ont des antécédents personnels et/ou familiaux de polypes, chez les personnes qui souffrent d’une colite inflammatoire ancienne, et également chez les personnes atteintes de la maladie de Crohn.
Symptômes et signes C’est une tumeur ulcérée et/ou bourgeonnante pouvant entraîner le rétrécissement de la cavité du côlon.
Plusieurs signes peuvent alerter : diarrhées persistantes ou au contraire constipation, signes digestifs ou extra-digestifs : anémie, fièvre, altération de l’état général, parfois occlusion intestinale, sang dans les selles, ou mise en évidence de métastases au niveau du foie.
Tous ces signes amènent indéniablement à pratiquer une coloscopie Traitement Il consiste en une ablation de la partie atteinte du côlon, puis le rétablissement de la continuité, associée à l’ablation des vaisseaux et ganglions voisins.
Dans certains cas il est possible de compléter par une chimiothérapie pour diminuer les récidives de la maladie.
Si le cancer est situé dans le bas rectum, on procède à l’ablation de la partie malade, puis à une colostomie (création d’un anus artificiel).
Prévention Il s’agit surtout d’un diagnostic précoce, le dépistage et la résection de polypes.
On a récemment identifié le gène responsable de la plus fréquente des polyposes intestinales.
Le Deltacron possède la génétique de la variante omicron et les génomes de la variante delta. Vingt-cinq cas ont déjà été détectés dans le monde.