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14 avril 2020 17 h 45 min

Les réseaux sociaux doivent-ils êtres surveillés ?

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Ces dernières années, ces réseaux sociaux, tels que Facebook, ont pris une très grande importance dans la vie des gens, devenant aujourd’hui un outil presque indispensable, notamment pour les jeunes.
Mais qui dit succès dit dérive.
En effet, ces dernier temps, les réseaux sociaux ont mauvaise presse, et sont de plus en plus associés à divers drames et faits divers.

Facebook : des rassemblements improvisés qui tournent mal Facebook est créé en 2004 par un étudiant, Mark Zuckerberg, et depuis, il n’a pas arrêté de prendre de l’importance, devenant l’un des plus gros réseaux sociaux.
Emblématique de ce phénomène, Facebook a su séduire le monde entier en quelques années.
De nombreuses dérives ont été observées depuis sa création, mettant tout d’abord en avant le manque de confidentialité et de sécurité pour les usagers.
Mais ce qui a le plus fait parler, ce sont les fameux apéros géants organisés sur Facebook, rassemblant un grand nombre de personnes.

Ces rassemblements spontanés et non sécurisés peuvent vite tourner au cauchemar : à Nantes, lors d’un rassemblement organisé via Facebook, un jeune homme est mort des suites de ses blessures; l’homme ivre est monté sur le rebord d’un pont et a fait une chute de 5m sur la tête.
Les médias et hommes politiques ont mis en cause le manque de contrôle sur les évènements organisés via Internet.
BlackBerry : le réseau des émeutiers Le célèbre smartphone BlackBerry, développé par l’entreprise canadienne Research In Motion (RIM), permet d’envoyer et de recevoir des e-mails, ainsi que des notifications en temps réel, tout en ayant tous les avantages d’un téléphone basique.
Ce bijou de technologie s’est illustré ces dernier jours à Londres, d’où l’on nous rapporte que c’est grâce à la technologie de communication en temps réel du BlackBerry que les pillards et émeutiers ont pu se donner rendez-vous et organiser avec autant de facilité des rassemblements.
Mais RIM ne l’entend pas de cette oreille et a offert sa collaboration au gouvernement britannique en vue de retrouver les fauteurs de troubles ayant utilisé le réseau BlackBerry.