Il existe différentes façons de poser un parquet et chacune de ces poses possède ses caractéristiques propres.
La pose collée La pose collée présente des avantages certains de confort sonore, mais elle s’avère difficile à appliquer, car cette pose nécessite beaucoup de matériels et une précision absolue.
La pose clouée La pose clouée est également possible.
Sa mise en œuvre consiste à fixer des lambourdes (gros tasseaux de bois) à l’aide de chevilles à frapper et de clouer les lames de parquet sur ces lambourdes.
La pose flottante La pose qui nous intéresse et qui est à la portée de tout bricoleur, un tant soit peu averti, est la pose flottante.
Muni d’une scie circulaire et d’un maillet, la pose commence par l’isolant phonique que l’on pose sur le sol de façon égale et répartie sur toute la surface de la pièce.
Ensuite, en partant d’un coin de la pièce, on commence à poser les lames de parquet sur la sous-couche en respectant un écart de 1cm entre le mur et la lame.
Ensuite, la pose consiste à emboîter les lames entre elles, toujours en respectant l’écart de 1cm entre le mur et les lames les plus proches de celui-ci (ce que l’on appelle le « jeu » qui permettra au parquet de « travailler »).
La difficulté réside ensuite à découper les lames en fin de rangée afin de respecter l’écart minimum.
Le dernier petit conseil sur la pose flottante est que l’écart entre deux jointures (ce qui se produit quand deux lames s’assemblent) doit être d’au minimum 20cm.
La pose peut commencer.