La réunification En 1954, l’État vietnamien avait été divisé en 2.
Les Viêt-Congs étaient les combattants de la guérilla communiste du nord qui luttaient contre le Vietnam sud et plus tard les Américains.
Mais la fin de la guerre et le départ des troupes françaises n’ont pas stoppé les hostilités, notamment avec l’implication des États unis par la suite, ce qui va provoquer de violentes manifestations dans les années 60, manifestants qui sont contre la guerre au Vietnam et qui feront couler beaucoup d’ancres, entre autres.
En 1975, les troupes américaines quittent finalement le territoire.
Le nord, Hanoi, qui a une influence certaine sur le Vietnam du sud, deviendra la capitale du pays qui se réunifie en 1976 sous le nom de République Socialiste du Vietnam.
Le pays va donc ensuite miser sur un modèle socialiste pour favoriser ses échanges et son développement.
Ce thème de la réunification a largement été traité par les médias et en particulier la télévision.
La télévision américaine a même été accusée d’être partiale à l’égard de ce conflit, en minimisant aussi certaines protestations, ce qui n’arrangea en rien leur image sur ce passage de l’histoire.
De nos jours Aujourd’hui, lorsque l’on visite le Vietnam, on sent toujours cette forte influence du nord et de Hanoi, où l’on peut toujours voir le mausolée d’Ho Chi Minh, le fondateur de la République démocratique du Vietnam.
Hanoi possède encore aujourd’hui les traces de la présence française à travers église ou cathédrale, puis des anciens bâtiments administratifs, sans oublier l’opéra d’Hanoi, réplique de l’opéra Garnier de Paris.
À Saigon, c’est la poste centrale et la cathédrale qui rappellent la présence française.
Un voyage au Vietnam ne va pas sans rappeler aussi combien le pays a souffert de la guerre et il est encore possible de visiter des tunnels en sous-sols dans lesquels se réfugiaient les Vietnamiens lors de violents bombardements.