Tablettes d’argile, papyrus, traductions et expansion 5000 avant J.
C : c’est à cette époque reculée que l’on trouve les premières traces de l’arithmétique en Mésopotamie.
3000 avant J.
C : la civilisation sumérienne utilise l’arithmétique avec une numération positionnelle de base 60.
2700 avant J.
C : les égyptiens ont les bases de l’arithmétique et de l’arpentage pendant que les chinois découvrent l’arithmétique et l’astronomie.
1800 avant J.
C : les babyloniens mettent en place la numération sexagésimale.
Les chinois débutent les maths en moins 1122 avant J.
C.
700 avant J.
C : les philosophes grecs Thalès, Pythagore et Platon étendent l’arithmétique et la géométrie à une autre dimension qui n’est plus utilitaire, mais philosophique.
Leur savoir débarque dans le sud de l’Italie et se retrouve en Égypte.
Dès lors, Euclide, Archimède, Apollonius et Eratosthène élaborent les synthèses des mathématiques grecques.
D’autres apportent leur contribution, comme Pappus, géomètre de renom, Hipparque et Ptolémée, des astronomes fondateurs de la trigonométrie et diophante, précurseur de l’algèbre.
La chute d’Alexandrie (640) fait déplacer les Arabes et son école se retrouve à Bagdad.
L’héritage des connaissances grecques, amalgamé avec celui des arabes, s’associés aux connaissances indiennes.
Leonard de Pise initie ses semblables à la numération arabe (1202).
L’ascension La trigonométrie se perfectionne en Europe au XVe siècle grâce à Regiomontanus.
Au XVIe siècle, François Viete apporte des notations algébriques.
Le XVIIe siècle voit John Napier (Néper) inventer les logarithmes et René Descartes, la géométrie analytique.
Pascal est dans le calcul des probabilités.
Kepler et Cavalieri apportent de l’aide aux recherches de Leibniz et Newton et découvrent l’analyse infinitésimale.
Au XVIIIe siècle, l’astronomie et l’algèbre sont en développement grâce à Taylor, Maclaurin, Euler, les frères Bernoulli, d’Alembert et Lagrange.
Monge invente la géométrie descriptive et Carnot la Géométrie de position.
Laplace apporte une importante contribution sur les équations et le calcul des probabilités.
Poncelet amène aux géomètres, des propriétés projectives des figures.
Comprendre les principes de dualité et la fonction homographique, relève de Michel Chasles.
Hamilton découvre le principe des quaternions et Mannheim distingue une géométrie cinématique (1894).
Lobatchevski, Riemann, Beltrami et Sophus édifient des géométries non euclidiennes (espaces courbes).
Et, Cauchy est penché sur les fonctions.
Galois s’intéresse aux équations algébriques.
Gauss et Legendre découvrent des moyens pour les propriétés des nombres.
Abel, Weierstrass, Jacobi, Hermite, Bertrand, Picard et Poincaré se penchent sur les fonctions circulaires et elliptiques.
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