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13 avril 2020 13 h 45 min

Le montage d’une maquette de camion

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Il ne faut pas acheter n’importe quoi, aussi bien en outillage que du choix de votre première maquette.
Faites un budget qui n’atteint pas une grosse dépense.
Concernant l’achat de votre maquette, surfez sur le net afin de trouver des vendeurs par correspondance.
Vous comparer les prix et parfois vous avez des surprises, les différences peuvent être de 15 à 20€ (prix constaté en février 2011), pour une même boîte.

N’allez pas investir dans du matériel trop sophistiqué, vous verrez cela au fil de vos réalisations.
Les premiers outils importants à acquérir sont : un cutter, une petite pince coupante, des limes, une pince à épiler, de la colle (évidemment), du papier à poncer, pinceaux.
D’ailleurs certains fabricants de maquettes proposent des coffrets avec l’équipement de base.
Il faut compter environ entre 20 et 30 € pour l’outillage (prix constaté en février 2011).
Puis vient le choix de la maquette, ne pas prendre un modèle trop complexe.
Italeri ou Revell, proposent des kits où le châssis est composé de très peu de pièces.

Donc des modèles relativement faciles à monter.
Vous voilà avec tout ce qu’il faut pour vous lancer dans le montage d’une maquette de camion.
Avant toute chose étudier bien la notice c’est très important, consacrer un moment, c’est une phase importante.
Celles-ci sont actuellement suffisamment explicites.
Repérez les grappes, généralement elles comportent des lettres.
Puis les pièces elles aussi sont numérotées, mais ne sont pas toujours sur la même grappe pour un même assemblage.
Il s’avère que parfois l’ordre du montage sera bouleversé.
Prenons le cas du châssis, c’est généralement par cette phase que commence le montage, mais certaines pièces à fixer sur celui-ci se trouvent 2 ou 3 pages plus loin, afin de finir celui-ci.
Voilà le pourquoi d’étudier attentivement votre notice.
Mon avis : Ma première maquette de camion que j’ai réalisée avait été un fiasco.
Il y a de cela 35 ans et nous n’avions pas le matériel actuel mis à notre disposition à cette époque.
De plus, il s’agissait d’une AMT, une marque des plus difficiles à assembler.