Si vous êtes jeunes et que vous aimez vraiment l’équitation, les chevaux au point d’en faire votre métier, que vous soyez adulte et souhaiter entré dans ce milieu c’est aussi possible.
Tout dépend de votre âge pour suivre le bon cursus.
Dans tous les cas, il vous faudra choisir une écurie.
Il y en a beaucoup et tous recrutent toute l’année.
Choisissez, selon votre niveau, une écurie plus ou moins grande.
Il est préférable cependant, si vous êtes jeune, de choisir une petite écurie pour commencer.
2.
Si vous n’êtes pas majeur © MLA Photography (Fotolia) foal © MLA Photography (Fotolia) Il vous faudra entrer dans une école spécialisée, car c’est le seul moyen de pouvoir monter un cheval de façon professionnel.
Que ce soit pour monter ou, si vous avez beaucoup d’ambition, devenir jockey.
La plus célèbre des écoles est « Le Moulin Rouge » de Chantilly dans l’Oise.
Le cursus est assez simple.
3 semaines d’écoles, 3 semaines à l’écurie.
Vous apprendrez à monter, tout sur les chevaux ainsi que leur morphologie et les étapes pour devenir Jockey.
3.
Si vous souhaitez devenir Lad © Clarence Alford (Fotolia) race horses & jockeys © Clarence Alford (Fotolia) Devenir Lad n’est pas le plus grand métier du monde, mais permet aux passionnés de pratiquer leur passion le sport, l’équitation.
Il n’est pas aussi gratifiant que le métier de Jockey, mais offre malgré tout le contact quotidien avec le cheval.
Un Lad est un homme à cheval qui tous les matins participe à l’entrainement.
Pour le devenir, il vous suffit de convaincre un entraineur de vous prendre dans son écurie.
4.
Si vous souhaitez devenir gentleman rider ou cavalière © Dwight Davis (Fotolia) wild horse © Dwight Davis (Fotolia) Pour cela, l’activité ne sera pas exclusive puisque seuls ceux ayant un métier en parallèle peuvent devenir cavaliers.
L’étape consiste à faire une demande auprès d’un entraîneur qui validera, au bout d’un certain temps, votre niveau d’aptitude à monter le matin.
S’il approuve vos compétences, un accord est envoyé à France Galop qui vous délivrera une licence et vous permettra de monter en course.
5.
Les difficultés du métier © stef (Fotolia) Exclamation © stef (Fotolia) Il ne faut pas être trop regardant sur les heures de travail.
C’est un métier très fatiguant et très prenant.
Retenez aussi que les chevaux de courses ne sont pas des poneys.
Monter un hongre peut être simple, mais sachez malgré tout que les juments et les entiers ont leurs tempéraments.
Il faut prendre en compte le danger qui est lié à ce genre de monte.
Le salaire n’est pas exponentiel.
Sauf si vous êtes Jockey ou que vous devenez accompagnateur de chevaux aux courses.