Élevage de chiens : les principes d'élevage de l'espèce canine

L’élevage canin Il consiste à effectuer un ensemble d’opérations avec l’animal dans le but de lui faire reproduire des tâches au profit de l’activité de l’homme.
Cependant, cette pratique n’est attribuée qu’à des chiens de race destinés à la domestication ou à la reproduction pour certains éleveurs.

Pendant le dressage, l’éleveur collabore avec des associations qui établissent des standards, c’est-à-dire des profils types pour chaque espèce canine.
Le chien est ensuite vendu et l’éleveur décrète s’il est destiné à la domestication, à la reproduction ou encore à l’exposition.
En effet, si le chien présente trop de différences avec le profil standard établi alors, il ne pourra qu’être domestiqué.
Le chien est également soumis à des tests de santé dans le but de déterminer s’il est possible qu’il transmette des maladies génétiques par exemple.
Formalités et équipements à l’élevage Afin de pouvoir prétendre à devenir éleveur, l’individu doit se soumettre à certaines obligations.
Celui-ci doit envoyer une demande conforme aux normes établies à la protection des animaux et de l’environnement aux services vétérinaires.

La loi ne prévoit pas d’énormes contraintes sur les installations et les nuisances sonores pour les voisins.
C’est la municipalité qui applique ses règles.
En ce qui concerne le chenil, il faut adapter sa ventilation selon la race du chien, la chaleur qui doit être au-dessus de 15°C l’hiver, donner une nourriture saine et bien conservée, installer un abreuvoir prévu pour ne pas geler, installer une isolation sonore et thermique et enfin entretenir le chenil en le désinfectant, le désinsectisant, le désodorisant et le dératisant.
L’éleveur se doit de prévoir un aménagement médical, interdit au public, ou de faire hospitaliser ses animaux malades.
L’animal Toute personne possédant un animal se doit, par l’arrêté du 25 octobre 1982, d’alimenter, d’abreuver et de soigner son animal sous peine de se voir considérer comme affligeant de mauvais traitements.
Le chien doit bénéficier d’une surface d’au moins 5m², d’une clôture lisse haute de 2m avec un sol incliné pour l’évacuation des eaux, d’un couchage entretenu et abrité à l’extérieur, d’une niche surélevée et protégée des intempéries, et enfin d’un accès à sa niche, de 2m², imperméable.
Les éleveurs qui destinent leurs animaux à des laboratoires sont soumis à des normes encore plus strictes.