La formation de fleuriste La formation de fleuriste se fait généralement en alternance.
On passe tout d’abord un CAP de fleuriste qui se déroule sur deux ans (une seule année si on possède déjà un autre BEP ou CAP).
Après le CAP obtenu, on peut passer le Brevet Professionnel (BP) de fleuriste qui est égal à un niveau BAC et qui se passe également sur deux ans.
Il existe encore un diplôme supérieur qui est le Brevet de maîtrise (BM) s’adressant aux fleuristes confirmés voulant aller encore plus loin dans leurs savoir faire.
Les écoles de formation Il en existe plusieurs en France mais les plus réputées sont : L’Ecole des fleuristes de Paris, qui se trouve dans le 19ème arrondissement, La Tecomah, à Versailles dans le 78, La Piverdie dans le 49, à Bouchemaine.
Certaines de ces écoles proposent également des formations payantes de reconversions pour adultes en quelques mois seulement.
Qualités requises Pour devenir fleuriste, il est nécessaire d’avoir : De l’imagination De la créativité Du goût au niveau des couleurs De la patience Un bon sens relationnel Une bonne santé physique Le métier de fleuriste Le fleuriste est au service des fleurs, il va les acheter chez son grossiste très tôt le matin puis une fois arrivé à la boutique les mets à l’eau.
Son travail ne s’arrête pas là, il confectionne ainsi des bouquets, des compositions, gère ses commandes de deuils et de mariage.
Il doit également s’occuper de ses clients, les renseigner et les conseiller le mieux possible.
Le fleuriste peut travailler les weekends et les jours fériés.
Il travaille aussi souvent dans le froid et à souvent les mains au contact de l’eau.
Mais être fleuriste c’est avant tout créer, inventer des réalisations uniques dans leur genre que l’on ne trouvera pas en grande surface.
C’est un métier passionnant qui évolue sans cesse.
Débouchés Les fleuristes traditionnels, les grandes surfaces, les jardineries ainsi que les entreprises de décoration sont souvent à la recherche de fleuristes et recrutent.
Le salaire d’un fleuriste varie entre le SMIC et 2500€ en fin de carrière (salaire constaté en avril 2011).