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11 avril 2020 14 h 30 min

Qu'est-ce qu'une dégénérescence maculaire ? (Définition, symptômes, traitements)

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Symptômes La maladie touche la macula dès l’âge de 50 ans.
En cas d’endommagement, ce point se situant au milieu de la rétine entraîne des difficultés, voire l’impossibilité de percevoir correctement un champ de vision précis.
L’on définit deux types de dégénérescence maculaire : La DMLA dite « sèche » : cette forme de dégénérescence provoque une dégradation progressive de la rétine.

Les cellules sont touchées et meurent graduellement.
La DMLA dite « humide » : celle-ci certainement plus grave entraîne des hémorragies de la rétine liées à la formation de nouveaux, mais mauvais vaisseaux sanguins.
Cela dit, la dégénérescence maculaire ne suscite aucune douleur, mais la gêne occasionnée peut être très importante.
Causes : Le tabagisme, L’hypertension artérielle, Le surpoids.
Symptômes : La baisse de la vision.
La déformation des images.
L’incapacité de pouvoir lire à cause de l’apparition d’une « tache » au milieu du champ de vision.
Traitements ll n’existe malheureusement pas de traitement actuellement, qu’il soit préventif ou curatif.

Mais les recherches scientifiques supposent que la perte de poids considérable ou l’arrêt du tabac pourraient avoir un résultat favorable quant à l’évolution de la maladie.
Un traitement constitué de prise de vitamines B9, B12, C et E ainsi que de bêta-zinc diminuerait le risque d’apparition de la DMLA.
Ces prises de vitamines peuvent diminuer le taux d’homocysteine (molécule sanguine) et avoir une bonne réaction préventive, mais pour les femmes seulement.
Les traitements par laser semblent efficaces chez près de la moitié des patients.
Mais la photothérapie pourrait être une bonne alternative.
Elle n’améliore pas la vision, mais la stabilise dans un cas sur deux.
Cela consiste à injecter par intraveineuse de la vertéporfine, mais seulement dans les cas de DMLA humide.
Ce photosensibilisant qui permet de ralentir la maladie doit être suivi des cures de laser.
Enfin, les traitements basés sur des anticorps monoclonaux peuvent être proposés pour tenter d’arrêter la maladie de forme inflammable.
Leurs coûts restent excessivement élevés et les injections dans l’œil par voie intravitréenne peuvent être des obstacles considérables à prendre en compte.
Dernièrement, il a été dit que le ranibizumab serait plus efficace que la vertéporfine.
Il faut savoir qu’il a des effets secondaires parfois très graves tels que des risques inflammatoires ou des accidents vasculaires cérébraux.
Ce qui justifie son utilisation en dernier recours.