Stéphane Fournier : « j’ai adopté le biofeedback quantique qui me permet de faire des choses relativement complexes de façon simple.
Je l’ai introduit en 2006 dans le cabinet Symbiose Santé, au Québec.
Le biofeedback vient en complémentarité de la médecine chinoise et n’est utilisé que pour mes clients qui le souhaitent ».
Le SCIO fonctionne bien pour la douleur, les allergies, l’anxiété, l’équilibrage nécessaire pour que le corps se régénère, avec les enfants qui ont des troubles de comportement.
Tout ce qui est lié à ce que j’appelle le mal de vivre.
Les maux émotionnels, comme la colère, la grande tristesse qui ont des répercussions sur le corps physique.
Cet appareil fait une lecture bioénergétique de la personne.
Il détecte les zones de stress qui s’installent dans le corps.
On détermine quelle partie du corps physique ou éthérique est touchée par un stress.
Les gens doivent être informés qu’il y a des centaines de types de stress, dont les stress chimiques, alimentaires, émotionnels.
L’OMS reconnaît que 85% des maladies se déclarent à cause des stress.
Le SCIO permet de travailler sur les stress qui sont à l’origine d’un état malade et non sur la maladie.
En revanche, le client doit être prêt pour faire ce type de travail.
Il doit être responsable à 100% de sa part d’implication et faire des changements dans ses habitudes de vie, son hydratation.
Sinon il est difficile de constater les améliorations.
Sans engagement du client, il ne peut pas y avoir de résultat.
Le biofeedback quantique est une approche globale qui doit donner l’autonomie à l’individu.
Toute approche globale de la santé requiert l’engagement.
Certains veulent guérir et pourtant chaque matin ils se lèvent et se cognent contre le même mur jusqu’au jour où ils décident de passer par la porte.