Des différences économiques, politiques, religieuses, architecturales et de mœurs opposent les pays du monde entier.
Les territoires défavorisés instruisent les promeneurs et possèdent des richesses autres que l’argent, qui sont une richesse du cœur et une richesse du patrimoine.
Ce sont les dissimilitudes et les écarts entre les pays dits « riches » et les plus démunis qui séduisent les voyageurs.
Ce retour au naturel, à la simplicité, au non-luxe, cette évolution lente et progressive invitent les curieux à la découverte.
Les bienfaits du tourisme Le développement du tourisme dans les pays pauvres est une bonne chose, car il permet un échange culturel important et un apport économique désirable.
En effet, il procure du travail aux autochtones et ces nouveaux « employés » sont une source de renseignements précieuse pour les gens en quête de connaissances.
De plus, les locaux gagnent plus d’argent et bénéficient ainsi d’un meilleur train de vie.
Outre le fait de rapporter des fonds, le tourisme permet aussi de faire découvrir les merveilles qui parsèment ces pays et de les protéger.
Il enrichit les pays grâce à l’argent, et les habitants enrichissent les voyageurs à travers leurs nombreux renseignements.
Mais, le tourisme n’est-il pas sans conséquence ? Le développement en masse du tourisme sur les territoires défavorisés est un peu trop « moderne » et rapide, et chamboule l’évolution « naturelle » et progressive de ces pays.
Le tourisme altère beaucoup de choses et oblige les gens à changer leur façon de vivre, leur comportement, leur espace naturel.
Les locaux doivent alors s’adapter au rythme des touristes et à leurs envies.
Finalement, à force de contrôler et de gérer les territoires, le tourisme finit par les dénaturer et les conformer aux pays développés.
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