Tout d’abord, le moteur graphique du jeu a été nettement amélioré par rapport aux années précédentes, ainsi que l’intelligence artificielle de l’ordinateur qui a été revu à la hausse.
Une autre évolution est aussi à constater, elle concerne les ralentis même si la qualité de ceux-ci demeure inférieure à ceux de Fifa.
Il faut noter que le gameplay de PES a été totalement modifié par rapport aux éditions précédentes et ainsi, le système de passes se voit ainsi complètement modifié puisque l’assistance a été supprimée si bien que le réapprentissage de ce geste de base devient indispensable sous peine de pertes de balles fréquentes.
Malgré cela, il reste un point où PES demeure encore largement inférieur à son concurrent, il concerne les gestes techniques.
En effet, les sombreros demeurent impossibles à effectuer de même que le jonglage en plein match, et ceux-ci ne sont que des exemples de dribbles inexploitables qui marquent un vide de PES par rapport à Fifa.
Côté Fifa, les deux grandes nouveautés sont les suivantes.
Tout d’abord le mode carrière qui propose désormais d’être manager de son équipe, simple joueur, ou joueur manager.
Ensuite la création d’un mode permettant le contrôle du gardien en simple match amical ou en compétition, ce qui est une véritable innovation qui pourra séduire une catégories de joueurs.
En conclusion, malgré une volonté claire et affichée de la part de PES de combler son retard face à Fifa, ce dernier semble encore en pôle position cette année grâce au gameplay qu’il a développé depuis plusieurs années, ainsi que la diversité qu’il propose tant au niveau des compétitions, qu’au niveau des licences des équipes, domaine dans lequel PES reste toujours largement inférieur.