L’éjaculation précoce, n’en faites pas une maladie Tout d’abord, il faut savoir que l’éjaculation précoce n’est pas une maladie, mais plutôt un signe de bonne santé.
Physiologiquement tout va bien, mais l’éjaculateur précoce peine à contrôler son éjaculation.
Il lui faut donc intervenir sur son degré d’excitation et se détendre.
Apprendre à canaliser son excitation, contrôler son plaisir.
Ne restez pas seul avec votre problème Le premier conseil, et c’est très important, si vous souffrez de façon répétée de ce trouble, ne vous enfermez pas.
La gène et l’évitement des rapports sexuels accentueraient votre trouble.
Vous seriez entrainé dans une spirale qui vous affecterait.
Alors dédramatisez.
Sachez que 75 pourcent des hommes en souffrent à un moment de leur vie sexuelle.
La cause du trouble Si au début de la vie sexuelle, il est fréquent et normal de mal contrôler son excitation, ensuite les raison de l’éjaculation précoce sont nombreuses .
Un moment de fatigue, une crise passagère dans votre couple, trop de travail… Autant de facteurs qui peuvent vous rendre moins performant.
Essayez de trouver la cause de cet embarras.
Si vous êtes en couple Parlez-en à votre partenaire sexuelle, elle sera d’une aide précieuse.
Compensez ce petit handicap par les préliminaires et les caresses qui peuvent tout à fait contenter votre compagne.
N’hésitez pas à consulter un sexologue ensemble.
Exercices à pratiquer Les exercices bénéfiques Il faut exercer les muscles du périnée.
Pendant l’amour, il est important de décontracter la zone du périnée pour retarder l’éjaculation.
Pratiquer la sophrologie ou le yoga pour apprendre à se détendre.
Savoir discerner les signes annonciateurs d’une jouissance rapide, et ainsi la prévenir, en se retirant un instant.
Se masturber en retardant l’éjaculation le plus longtemps possible.
Pratiquer le stop en go, qui est une variation des mouvements, voire un arrêt total, en fonction du degré de l’excitation.
Votre partenaire peut comprimer votre gland entre l’index et le pouce pour stopper l’éjaculation.
Astuces Choisissez des positions sexuelles qui dilatent le vagin, la levrette par exemple.
Masturbez-vous une ou deux heures avant un rapport sexuel.
Pour finir On peut y associer un antidépresseur si l’acte sexuel devient trop angoissant.
Et n’hésitez pas à consulter un sexologue si le trouble s’installe durablement.
Avec un peu de patience et de temps, ces désagréments ne seront plus qu’un mauvais souvenir.