Le visiteur médical Officiellement, l’expression médicale tire son origine de la convention collective de l’industrie pharmaceutique.
On peut aussi l’appeler, délégué médical ou informateur médical.
Il travaille dans un cabinet ou d’un laboratoire du pharmacien.
Les conditions d’accès au métier Le postulant à l’activité de visiteur médical doit présenter des dispositions, en matière de communication.
C’est la première condition.
À cette qualité doit s’ajouter cette capacité d’adaptation rapide, de bonne organisation et de rigueur morale, à cause à certaines exigences du travail et le fait qu’il peut souvent se retrouver seul.
Les quelques chiffres Les visiteurs médicaux dans la métropole française font 20% d’employés de l’industrie de la pharmacie, soit près de 100000 emplois.
C’est un domaine dans lequel les femmes interviennent beaucoup.
C’est un secteur qui emploie 66% de femmes, et 68% de jeunes de moins de 40 ans.
Environ 40% ont des diplômes en visite médicale.
Ils peuvent avoir des diplômes de base, dans le domaine scientifique, technique, commercial et littéraire.
La formation des visiteurs médicaux Cette formation est, en fonction du Code de la Santé Publique, et par un contrat professionnel signé en 1992, entre Les Entreprises du Médicament (LEEM) et une organisation des visiteurs médicaux.
Les organismes de formation Il existe près de 34 organismes du secteur privé de formation qui présentent chaque année, environ 2000 postulants, au titre homologué de visiteur médical.
En outre, 18 Universités forment aux diplômes qui sont comme les titres homologués.
Les salaires et les classifications Les visiteurs médicaux sont de la catégorie 5 et 6, avec une grille oscillant entre 1 et 11.
Le plus petit salaire est 10007F pour le médical débutant de la catégorie 5A.
En janvier, la moyenne réelle du salaire, y compris, les primes de la catégorie 5A étaient 13857F mensuellement.
Cette somme exclut les primes et dans les moindres détails, les remboursements des frais qui ne sont pas des salaires.
Les quelques avantages Les coûts du repas, quand il faut manger en dehors de son domicile, sont remboursables avec forfaiture ACOSS.
Ce forfait est connu chaque année, afin de décharger les montants dus à titre de cotisations sociales et d’impôt.
Certaines sociétés procèdent au remboursement des frais réels sur justification, mais avec une base de dépenses.
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