En Hongrie, la rupture d’un réservoir d’une usine d’aluminium a provoqué une catastrophe écologique majeure.
Le village de Kolontar a été surpris par une vague de plus d’un million de mètres cubes d’une boue rouge toxique et extrêmement corrosive.
La puissance de cette marée ne s’est pas arrêtée à un village, mais a également touché les sept villages avoisinants.
Elle a, ainsi, détruit toute forme de vie sur son passage.
L’état d’urgence a été déclaré par le Gouvernement hongrois.
Tout un écosystème est ravagé par cette catastrophe écologique qui a rendu stériles les sols.
Elle a également tué la vie animale marine dans les rivières de la Marcal et de la Raab.
Le taux de ph est monté à 13, tuant ainsi toute forme de vie.
Le Gouvernement hongrois tente de réagir Le secrétaire d’État à l’Environnement, Zoltan Illès parle de désastre à long terme.
« Les métaux lourds sont connus pour leur longévité et ne disparaissent pas d’un jour à l’autre » confirme Gabor Figeczky de WWF-Hongrie.
Par ailleurs, la boue rouge a déjà tué quatre personnes et trois autres sont portées disparues.
Si les autorités ne parviennent pas à stopper l’écoulement de boue rouge, celle-ci pourrait atteindre le Danube, ainsi que des pays frontaliers de la Hongrie.
Pour parer à cette éventualité, les autorités ont inondé de produits acides et de plâtres la Marcal et la Raab.
La priorité reste le nettoyage des zones sinistrées.
Ce qui oblige les habitants à quitter leurs résidences, devenues « inhabitables » pour des raisons sanitaires.
L’usine d’aluminium, seule responsable L’entreprise propriétaire du réservoir qui a cédé est mise en cause par le Gouvernement.
Elle doit faire face à la colère des familles touchées par la rupture du réservoir.
Le coût abyssal de cette catastrophe écologique revient, en grande partie, à la charge de l’État.
L’usine, n’est assurée qu’à hauteur de 10 millions Ft, soit 36500€.
Seule responsable de ce sinistre, l’entreprise ne pourra pas payer les pots cassés.
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