Le résumé L’histoire d' »Un bon petit diable » débute en Écosse en 1842.
Charles Mac’Lance a perdu ses parents et vit chez sa cousine, une veuve aigrie, avare et méchante qui s’appelle Mac’Miche.
Elle est fort dure avec le jeune Charlot qui, pour se venger, passe son temps à lui jouer des vilains tours, en partie grâce à la complicité de la servante Betty.
Il exploite la terreur de Mac’Miche vis-à-vis des fées et du diable, inventant sans cesse de nouvelles ruses pour se venger.
La veuve Mac’Miche est en possession de l’héritage de Charles, qui s’élève à 50 000 francs et elle espère bien le garder pour elle.
Elle est très dure avec Charles, le prive de nourriture à la moindre occasion (pour faire des économies) et le roue de coups à la moindre occasion.
Ne pouvant plus supporter ses farces continues, elle décide de le mettre en pension chez M.
Old Nick.
Charles se rend aussi souvent que possible chez sa cousine Juliette qui est aveugle et qui tente sans cesse de le remettre dans le droit chemin.
Charles, qui a douze ans au moment du récit, prend la décision de vivre chez ses cousines, Juliette et sa sœur Marianne qui devient la tutrice de Charles lorsque la vieille Mac’Miche meurt.
Charles peut percevoir l’argent de son héritage ce qui lui permet de faire l’acquisition d’une ferme.
Marianne se mariera, tout comme Juliette et Charles.
Avis et analyse Dans « Un bon petit diable« , la comtesse de Ségur met en scène des thèmes qui lui sont chers comme la maltraitance de l’enfance, la morale et l’affection.
Le roman « Un bon petit diable » a donné à un film réalisé par Jean-Claude Brialy dans lequel Alice Sapritch jouait le rôle de la désagréable veuve Mac’Miche.
Parmi les livres de la comtesse de Ségur, Un bon petit diable est le seul où le héros est un garçon.
Dans ce roman elle s’attaque à deux choses qu’elle détestait, à savoir les pensionnats pour les garçons mais aussi les mauvais riches.
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