La caverne des passions et les 40 délices La cuisine libanaise s’est enrichie d’une multitude de plats aux saveurs subtiles et généreuses.
Les influences turques, arméniennes et druzes ont fait de cette gastronomie un festival de couleurs et de goûts variés.
Mezzés, fattouches et moutabbals, kebbés crus ou cuits en boulettes et légumes farcis, plats de fête et douceurs, tout un art de vivre s’exprime dans la gastronomie libanaise.
Cuisine du soleil et du cœur ; plein et chaud de préférence ; car l’enfer est dans un cœur vide, comme l’expliquait si bien, le célèbre poète écrivain libanais Khalil Gibran.
Faite de finesse et d’élégance, elle a acquis ses lettres de noblesse depuis des lustres.
Des spécialités régionales brillant d’une teinte familiale Ne convoitant plus son authenticité, la cuisine libanaise familiale offre également une grande variété de plats, dont certains sont régionaux.
La manakish, un chausson libanais au thym ou au fromage.
Les yakhnés ou ragoûts, se présentent aux pois chiches ou aux pommes de terre et sont accompagnés de viande, et d’un riz agrémenté de vermicelle.
Ses saveurs évoquent les 1001 horizons ensoleillés qui s’offrent à la vue.
Sa diversité cohérente explique sa large diffusion au Moyen-Orient.
Là encore, la générosité de l’hospitalité libanaise ne fait pas défaut à l’esprit méditerranéen.
De la plaine de Bekaa aux côtes, le centre grenier, en passant par le mont Liban et les vergers du sud, chaque terroir apporte son panier d’ingrédients et de garde-manger variés.
Ne sont pas en reste, les pâtisseries de Tripoli, parmi d’autres pâtisseries de cette contrée à la mosaïque harmonieuse : le baklawa, le kenafeh, le mafrouké, le maamoul (gâteau à base de semoule fourré aux dattes, aux noix ou aux pistaches saupoudré de sucre glace).