Les archives départementales Les dépôts Les archives des communes sont regroupées au chef-lieu de leur département.
On trouve donc les archives de Savoie à Chambéry, de la Loire à Saint-Etienne, de l’Isère à Grenoble, de la Mayenne à Laval, du Vaucluse à Avignon.
Chaque dépôt a ses propres procédures de consultation, ses horaires, ses jours de fermeture.
Les archives sont, le plus souvent, conservées sous forme de microfilms.
En l’occurrence, dans la plupart des dépôts, les lecteurs de microfilms doivent être réservés.
Cependant, de plus en plus d’archives sont numérisées et accessibles en ligne.
On y accède par le biais des sites suivants : Archives-departementales.
com, pour la province.
Canadp-archivesenligne.
paris.
fr, pour Paris.
Des cercles généalogiques actifs compensent, bien souvent, le retard de numérisation des départements, notamment le Centre généalogique du Finistère (CGF) dont les bénévoles ont créé la base de données RECIF.
Des sites d’entraide aux généalogistes amateurs sont listés ici : Guide-genealogie.
com Les documents Dans les dépôts, on trouve, en plus de l’État civil, toutes sortes de documents officiels permettant de recouper les données sur des personnages, en fonction de leur métier, s’ils étaient compagnons ou militaires, de leurs actes, de leurs délits, de leurs tractations ou de leurs biens.
Les recherches 1.
Collecter les informations dans les documents Fouiller les greniers à la recherche de papiers d’État civil : extraits d’État civil, livrets de famille, livrets militaires, contrats, reconnaissances de dette, faire-parts, correspondances, photos de groupe… Interroger les vieilles tantes et les grand-mères.
Noter tout ce qu’on recueille.
Commencer une fiche de renseignements par personne.
Le mieux, de nos jours, est l’ordinateur et le traitement de texte.
2.
Compléter avec les recherches aux archives départementales Chercher les documents faisant le lien entre les diverses informations recueillies, et noter tous les détails.
On retrouve, parfois, un ancêtre parce qu’il a été parrain ou témoin de mariage.
3.
Construire un arbre généalogique Un logiciel de généalogie permet de recopier les fiches qui, automatiquement, constituent un arbre.
Des vérifications dans cet arbre sont possibles, ainsi que l’introduction de photographies, de documents, de commentaires.
Il est même possible de diffuser son arbre, en ligne, à l’attention des parents inconnus qui pourraient se reconnaître.
Généatique, à partir de 24,95€.
Genopro,à 49$.
Heredis,à 49,90€.
* Prix constatés en juillet 2011.
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